• histoire de reines et de rois

    Sissi "enfant

    2. Sissi "enfant de Noël" : libre et passionnée de la nature et de la poésie
    <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container>Sissi est née le 24 décembre 1837 à Munich, son père Maximilien Duc en Bavière l'appelait "son enfant de Noël". Elle était passionnée de poésie, d'équitation et de promenade en forêt. Elle adorait aussi les animaux et était élevée sans contrainte et sans manière au grand regret de sa mère Ludovika duchesse en Bavière. Sissi ressemblait beaucoup à son père et ne vivait que pour sa liberté (et ses voyages par la suite). Elle était la troisième enfant d'une grande famille de huit enfants. Elle vivait l'hiver à Munich et l'été à Possenhofen dans un château au bord du lac de Starnberg où elle aimait se baigner. Elle a vécu selon ses désirs jusqu'à l'age de ses 15 ans...
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    . Marié l'Empereur ...
    15. Marié l'Empereur ...
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    Sophie choisissait elle même les "comptesse hygiénique" pour François-Joseph pour qu'il découvre avant son mariage l'acte physique. Ce n'était évidement que pour assouvir ces besoins naturels... Les "comptesse hygiénique" était scrupuleusemen choisit : elle était choisit donc par Sophie et biensur osculté par le medecin de la cour de Vienne, il ne fallait pas choisir n'importe qui pour l'Empereur !
    Il n'y avait donc aucun amour biensur, Sophie comptait bien marier son fils qui était à cette époque l'un des plus puissant souverains d'Europe et qui était donc visé par toute l'Europe car il n'était pas encor marier, de plus la futur epouse serait impératrice d'Autriche. Il ne fallait pas choisir n'importe qui ! Sophie voulait une épouse qu'elle pourait éduquer pour devenir Impératrice mais aussi une épouse soumise qui ne se mèlerait de rien et qui donc laisserait Sophie la première dame de l'Empire au côté de son fils.
    François-Joseph était au debut interessé par une certaine archiduchesse Elisabeth, elle était hongroise... Sophie n'en voulut pas ! Une homgroise ?! Impératrice d'Autriche?! Les hongrois était à cette époque des rebelles pour la cour de Vienne !
    Sophie jeta d'abor son dévolu sur Sidonie de Saxe, qui ne plaisait pas du tout à François-Joseph.
    Elle lui présenta ensuite la jolie princesse Anna qui était la nièce du Roi de Prusse, mais la Prusse ne voulait pas une alliance avec les Habsbourg !
    Sophie fini par ce tourné vers sa famille, elle pensait à Hélène qui était une bonne fille avec de bonne manière. De plus une alliance avec la Bavière était une bonne idée. Hélène ne déplaisit pas à Franzi, il en était un peu indifferent. Il ne pensait qu'à son devoir d'Empereur et si sa mère pensait qu'elle ferait une bonne Impératrice alors ten mieu !

    Pendant ce temps, Sissi venait d'apprendre que son jeune amour, Richard" était décédé... Sissi se réfugia dans l'écriture et l'idée de la mort...

    La rencontre de François-Joseph et d'Hélène était prévu le 16 août 1853 à Ischl. Ludovika eu l'idée d'emmené Sissi pour lui changer les idées... Cela changea les plans de Sophie pour le mariage de son fils...
     
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    16. Rencontre avec Sissi et demande en mariage...
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    Ludovika et leur deux filles arrive a Ischl en retar ! Ce qui exaspère la tante Sophie, l'Empereur ne vas pas tardé à arrivé! Il faut ce dépéché!! On s'active autour d'Hélène pour la rendre aussi ravissante que possible (car après plusieurs heures de route et une migraine insuportable, elle ne ressemble plus à la jolie futur fiancé que Sophie avait décrite à Franz). Personne ne s'occupe de Sissi, elle se coiffe toute seul, s'arrange un peu. Elle ira boire le thé comme sa mère à voulut, puis elle ira rejoindre Charles-Louis (le frère de Franz) pour courir dans la forêt... Mais sa ne se passera pas comme cela...
    François-Joseph arrive un peu avant l'heure, tout est près, Hélène est la belle et charmante, tel que l'avait décrit Sophie. François-Joseph la salut, sans plus de regard, certe il la trouve ravissante, mais pour lui ce n'est qu'un mariage d'état... Lorsque ces yeux ce posent sur Sissi, c'est le coup de foudre... Son regard paraît insistant, Sissi ne c'est plus quoi fair, elle est géné de ce regard presque grossier...elle n'ose pas regardé sa soeur qui doit se sentir très humilié... Tout le mmonde à remarqué ce qu'il se passe... Sissi est géné mais pour elle aussi c'est le coup de foudre, mais elle ni pense pas plus, cet empereur est promit à sa soeur...
    Lors du thé, Hélène est assise comme prévu près de l'impereur, mais il ne la regarde même pas et lui parle uniquement pour complimenté Sissi...
    Après le thé, Sophie demande à son fils comment il trouve Hélène, ne croyant pas que ce regard insistant pour Sissi était sérieux. Franz répond un peu dans ces rêves qu'il veut l'épousé, Sophie est très heureuse et lui parle de l'annonce de ces fiançailles qui aura lieu ce soir, Franz lui répond que se n'est pas Hélène, maiss Sissi qu'il épousera...
    Le lendemain il fait parvenir à Sissi et ses parents sa demande en mariage. Sissi était géné, Hélène était humilié et Ludovika étoné...
    Sissi aimait Franz, mais ne voulait pas fair de mal à sa soeur, de plus il était empereur, Sissi le savait elle nétait pas faite pour vivre à la cour.
    Lorsque Ludovika lui fit parvenir la demande en mariage de l'empereur, Sissi s'exclama : "si seulement il n'était pas empereur"... La bonne duchesse Ludovika lui aurait répondu : "on ne refuse pas un empereur d'Autriche"
    Lorsque François-Joseph reçu la réponse (c'était oui biensur) écrite de la main de Sissi, il se rendit sans même s'annoncer au appartement (qui été situé dans un hotel non loin du chateau de ischl), il la vit et ce fut leur premier baiser... Pour Franz ce fut merveilleux, pour Sissi ce fut un peu "degoutant", ce fut très brusque, elle n'avait que 15 ans et ne savai rien de l'amour physique...
    Le mariage fut annoncé pour l'année suivante, en attendant, Sissi retournera chez ces parents ou elle apprendra tout ce qu'il faut savoir sur la cour de Vienne, c'est Hélène qui lui apprit pratiquement tout ce qu'il fallait savoir sans aucune jalousie ni rancoeur... Franz lui écrivait souvent, impatient d'avoir sa petite femme auprès de lui pour toujours... Sissi s'avourait les dernier instant de son enfance...
     
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    Sissi devient Impératrice d'Autriche
    17. Sissi devient Impératrice d'Autriche
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    Le mariage est célébré le 24 avril 1854 en l'Église des Augustins de Vienne. Sissi devient donc Impératrice d'Autriche, et autre titre, contre son grès... Le mariage fut un atroce supplice pour Sissi, mais pour François-Joseph qui était tellement fière d'exibé son belle amour... Voici coment c'est déroulé la journé du mariage : "Elle (sa première dame d'honneur) lui remit un épais cahier qui comportait le titre "Très humbles rappels" et contenait tout les détails des cérémonies du mariage qu'elle devait graver avec exaltitude dans son esprit. Le protocole avait fixé jusqu'au moindre détail. Rien n'était laissé au hazard.", "Le lendemain [...] ç cinq heures de l'après-midi, eut lieu l'entrés à la Hofbourg, dans une voiture d'apparat, tirée par huit palefrois, avec des roues dorées et des panneaux de porte peints par Rubens. La partie supérieure du carosse était en verre, si bien que la population put voir la fiancée remercier des ovations avec un sourire gracieux.", "Le lendemain, à 18 heures 30, les cloches sonnèrent pour annocer que le cortège de la fiancée s'approchait de l'église des Augustins. L'empereur, en uniforme blanc de maréchal, était accompagné de son grand chambellan. La fiancée avançait entre l'archiduchesse Sophie et la duchese Ludovika. Elle portait une robe de soie blanche, richement brodée d'or et d'argent, avec une ceinture garnie de pierreries; dans son abandante chevelure brillait le diadème que l'archiduchesse Sophie avait portée le jour de ses noces. Une riche parure de brillants et de perles resplendissait à ses bras et a son cou. Une couronne de rose avait trouvé place à côté du diadème".
    "L'archevêque de Vienne, le cardinal Rausher, célébra le mariage. Lorsque le jeune couple se donna la main après l'échange des anneaux, une première salve de canons tonna, une deuxième retentit au début du Te Deum, suivie d'une troisième salve d'honneur lorsque le couple quitta l'église pour se rendre à la Hofbourg. Là, les longues et épuisantes félicitations attendait la jeune mariée. Les dignitaire de la cour, de l'armée, les membres de la haute aristocratie et tous ceux qui avait l'honneur de présenter leurs voeux défilèrent selon l'ordre strict de protocol, tandis qu'Elisabeth, assis sur son trônee, leur tendait la main à baiser.", "Elle traversa l'évènement dans une sorte d'état de transe, toujours attentive à vaincre sa timidité. Elle n'était ni fière, ni heureuse. Tout se cérémoniale lui était affreusement pénible et c'est seulement à grand-peine qu'elle réussit à ne pas fondre en larmes. [...]Il était tard dans la soirée lorsqu'on se rendit au diner qui, par bonheur, était réservé à la famille".
    Comme vous pouvez le constaté mon article est très long et un peu pesant pour la lecteur, je l'est fait exprès (ou plus tot l'auteur a fait exprè) pour montrer à quel point cette journé fut longue, annuiyeuse et epuisante pour Sissi.
    Après le diner on emena les époux à Laxembourg, et comme l'étiquette l'exigeait, la duchesse Ludovika enmena Sissi dans la chmabre nuptial ou la première dame d'honneur et 4 femmes de chambres la couchèrent, puis l'archiduchesse Sophie introsuit son fils dans la chambre. Mais Sissi était déja endormi... C'était un jour de surcit pour Sissi... Elle echappa à la consomation du mariage une nuit de plus... Le mariage ne fut consommé que le troisième jour, ce fût un echec pour Franz et Sissi. Sissi n'aimait pas la brusqueri de Franz (que lui avait enseigné les contesse higiénique), elle n'aimait l'amour physique et ce jusqu'à la fin de ces jour...
     
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    Vie à la cour et debut du mariage
    18. Vie à la cour et debut du mariage
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    Le début de leur mariage fuut heureux, malgrès l'espionage de l'archiduchesse Sophie et des dames d'honneurs qui rapportaient les faits et gestes de l'Impératrice. Elle était impératrice, certe, on peut donc se dire mais pourquoi ne pouvait t'elle pas crier un bon cou ! C'est qui gouverne ce royaume ! C'est elle qui "commande" ! Et bien non ... Sissi n'était pour la cour de Vienne et surtout pour l'archiduchesse qu'une potiche...
    Elle passa son voyage de noce à Laxembourg ou l'empereur partait à 4h du matin pour ne revenir que le soir. Sissi était seul, elle mourait d'envi d'allez courir dans les champs ou de monter à cheval. Mais non, elle devait rester au calme pour pouvoir mettre au monde le premier enfant qui, tout le monde l'espérait, serait le prince héritier. Elle n'était pas encor enceinte qu'on la mnageait tout comme. C'était donc une potiche mais aussi une donneuse d'enfant au pays ! Son ventre n'était plus à elle...
    Un jour, elle pria Franz de l'emmené avec lui le lendemain, elle le fit tout les soir jusqu'à ce qu'il sède. Il l'emmena donc au bureau de la Hofbourg, elle resta toute la journé à le regardé... A cette époque elle était amoureuse... Sophie était déconsterné ! Une impératrice qui court après un empereur !
    La pauvre Sissi n'était pas llibre... Et pourtant c'est la seul chose qu'elle désirait...
     
     
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    Sophie Frédéique Dorothée Marie Joseph de Habsbourg Lorraine
    19. Sophie Frédéique Dorothée Marie Joseph de Habsbourg Lorraine
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    Vers juillet 1854, quelques mois après le mariage, Sissi se plein de nausée. On constate qu'elle n'est plus réglé... Sissi est enceinte.
    Sa grossesse se passe très bien malgrés quelques nosées et les restrictions d'equitation. Le 5 Mars 1855 Sissi met au monde la petite archiduchesse Sophie (prénom choisit par Franz et sa mère). L'acouchement c'est très bien passez, Sissi était entouré de Franz, du medecin et de sa belle mère...
    Sissi c'est occupé de Sophie le mieux qu'on puisse faire, elle passait ses après-midi à la regardé dormir, elle l'entourait d'un amour indescriptible, Sissi était redevenue heureuse...
    La petite Sophie est resté 1 mois avec sa mère, L'archuchesse Sophie jugea Sissi trop jeune pour élevé un enfant. La petite Sophie fut transféré dans les apartement de sa grand-mère. Sissi devait s'annoncé avant toute visite, elle ne voyait presque pas sa fille car sa belle mère avait toujours une bonne raison pour lui dire de ne pas entrer dans la chambre... Sissi c'est batut pour avoir sa fille auprès d'elle, mais Franz malgrès tout l'amour qu'il portait à sa chère épouse était d'accor avec sa mère. Il répéta d'ailleur plusieur dans sa vie : "elle est si jeune"... D'un nature mélancolique et misanthrope, Sissi ne savait plus quoi fair, elle déprimait ...
    Quelques temps après qu'on lui ai enlevé sa fille, Sissi fuit de Vienne et se réfugia à Possenhoffen. Ses parents la receuillit, la comprenait mais n'approuvait pas sa fuite de Vienne. Franz qui s'inquiétait et la savait capable de ne plus jamais revenir à Vienne lui écrivit plusieurs lettre pour la convaincre, mais rien ni fesait. Il decida alor de se rendre lui même à Possenhoffen pour ramené l'Impératrice à la cour de vienne, ce n'était qu'un caprice pour lui, mais il laimait tant, "elle est si jeune"... Il réussit à convaincre Sissi de revenir à Vienne, elle a accepter par amour pour lui... Franz retourna seul à Vienne, Sissi le rejoindra quelques temps plus tard... Elle essayait de resté le plus possible près de sa famille ou ces soeur n'était pas encore mariée...

    La petite Sophie fût élevé par sa grand-mère jusqu'a ce quelle atteigne ces deux ans ...
     
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    La maladie de Sissi et naissance de Rodolphe de Habsbourg Lorraine
    21. La maladie de Sissi et naissance de Rodolphe de Habsbourg Lorraine
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    Sissi une fois arrivé à Madère se remet petit à petit. A vienne on la croyait perdu, à cette époque la tuberculose ne pouvait être soigné à cent pour cent. Pourtant, au bout de quelques mois passé à Madère Sissi n'a plus rien! Elle s'ennui un peu même, elle passe ces jour à jouer au carte, à se promené, mais elle à la bougeotte et ne peut resté longtemps à un endroit sans vouloir partir quelque temps après.
    François-Joseph est fou de joie que la femme de sa vie est en bien meilleur santé. On verra plus tard que ce n'était pas une tuberculose mais c'est "à cause" de la cour de Vienne, de sa belle mère, de sa liberté arraché... C'est une sorte de rebelion de son corp.
    Sissi va mieu, mais elle doit retourné à Vienne pour reprendre sa place auprès de son mari.

    Vers Janvier 1858 Sissi est à nouveau enceinte. Cette fois l'acouchement ne passe pas bien du tout. Sissi à très mal, François-Joseph à peur de perdre l'être qu'il aime le plus, Sophie (qui était comme à tous ces acouchement présente) pleur de peur de perdre l'impératrice.
    Rodolphe de Habsbourg Lorraine, archiduc d'Autriche et prince héritier de l'Empire austro-hongrois. L'héritier du trone est enfin venu. Tout le monde est fou de joie. Pour annocer sa naissance au peuple on tonna 101 coups de canon. Dès sa naissance, Rodolphe fût nommé par François-Joseph, colonel de son 19ème régiment d'infanterie. Cela montre bien ce qu'attendani François-Joseph de son fils alors qu'il n'était qu'un nourisson...
    Rodolphe fût biensur confié à sa grand-mère, Sissi avait céssé de ce battre (on le verra pourquoi juse après). Le prince Rodolphe n'était pas un enfant robuste, il était craintif et pleurnichar et très fragile. Mais il était très intelligent et voulait tout savoir. Il ressemblait beaucoup à Sissi... Dés l'age de 3 ans on lui enseigna la religion, la principal langue de la monarchie, le tchèque et le hongrois. Il savait très tot (vers 3 / 4 ans) ecrir et lire. On lui enseignait aussi l'art de la guerre (tir, manoeuvre ... ). Voila ce qu'endurait ce petit bout de chou à qui on avait placé tout les espoirs de reprendre le trone après la mort de son père ... Mais lui aussi, tout comme Sissi, il n'était pas fait pour cette vie...
     
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    Reine de Hongrie
    54. Reine de Hongrie
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    Tout le monde le sait : Sissi aime la Bavière et surtout la Hongrie... Son amour pour ce pays commence à l'age de 15 ans lorsque sa tante, qui devient après sa belle-mère, demande que l'éducation de Sissi soit plus intence. Son père engage un hongroie qui lui enseigne l'histoire et qui espère trouver en la futur souveraine une aide précieuse. Cette homme s'appelait Jean Majlath, il avait soixante-dix ans et était criblé de dette. Lorsque Sissi quitta la Bavière pour devenir impératrice, Jean Majlath se suicida... Cette homme n'avait pas été l'un des rebelles de 1848, mais il espérait de l'aide pour son pays. On peut penser que le duc Max a choisit cette homme pour prendre sa revanche sur son autocratique belle sœur Sophie... Mais ce n'est qu'une supposition... Dans tout les cas ce choix donneras un sens à la vie de l'impératrice.
    Le petit homme lui parle avec ferveur de l'ancienne constitution Hongroise pour laquelle ces compatriotes ont versé leurs sang. Marqué par cette homme qu'elle aimait beaucoup, Sissi après être devenue impératrice veut savoir tout sur la Hongrie... Les hongroie l'aime, l'acclame, l'admire.. Elle ne peut plus se passer de se pays et séjourne souvent à Gödöllö, elle engage une lectrice hongroise qui deviendra au fil du temps sa plus proche amie, cette femme s'appel Ida Ferenczy. Elle jouera un grand role dans le couronnement d'Elisabeth. Elle connait un homme qu'on surnomme le "beau pendu". Il a échappé à la pendaison inculpé par François Joseph après la révolte de 1848. Cette apprend à connaître l'impératrice grace à Ida.
    Elle favorise le compromis hongroie, François Joseph sait que Sissi est beaucoup aimé, les hongroie la veulent pour reine !
    Le 8 Juin 1867, François Joseph et Elisabeth son couronné roi et reine de Hongrie. Elisabeth devient Erzebeth, et elle aime qu'on l'appel comme cela. Elle promait un héritier à la Hongrie, elle est prête à se "sacrifié" pour sa nouvelle patrie. Seulement ce ne fut pas un fils mais une fille. Marie Valérie était surnomé Kedvesem, ce qui signifie l'Unique. Ell est né en Hongrie. Plus tard le caractère de Marie Valérie se rapprocha de celui de son père et elle préféra la Hofburg que Gödöllö...
    Sissi a aimé la Hongrie jusqu'à la fin de ces jours er fut très touché à la mort de son ami Andrassy...
     
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    Sissi
    80. La plus belle photo de Sissi Timbre à l'éfigit d'Elisabeth d'Autriche
    89. Timbre à l'éfigit d'Elisabeth d'Autriche
     
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    Sissi et ses chiens
    142. Sissi et ses chiens Parure d'Elisabeth d'Autriche
    151. Parure d'Elisabeth d'Autriche 
    Les funérailles d'Elisabeth
    163. Les funérailles d'Elisabeth
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    La Hofburg : la cour et la chapelle sont tendues de noir, avec les armes de l'impératrice et cette inscrption en latin : Elisabetha Imperatrix Austriae Regina Hungariae.

    Le 16 septembre, une grande foule défile devant le cerceuil de celle que l'on n'oubliera plus jamais - emportée malgré elle dans une mystérieuse éternité.
    Marie-Valérie et Gisèle, en larmes, ne quittent pas leur père. Elles savent qu'il est allé, à l'aube, baiser le cerceuil trop lourd, trop clos, de son aimée. Marie-Valérie est en partie soulagée. Sa mère, elle le savait, ne supportait plus sa souffrance endeuillée. Elle se pensait une gène pour ceux qui l'aimaient. Le souvenir de Rodolphe, superposé à celui de son cousin Louis, de ses soeurs, dont Sophie brûlée vive, la torturait. Marie-Valérie savait que sa mère n'eut pas voulu d'une agonie trop longue, une vieillesse sans fin, et surtout survivre à François-Joseph. C'était, chez elle, une véritable terreur.
    Peut être eût-elle remercié son assassin ?
    Ses chères hongroises sont dans une désolation violente. Marie et Ida s'en veulent de n'avoir pas été présentes. Elles se lassent pas de se faire raconter chaque détail par Irma. Ce souvenir - leur chère reine - justifiera leur survie. Vivre pour conserver cette mémoire qui leur est sacrée... Leur culte, leur "sainte", leur reine à elles.

    Des milliers de fleurs, de tous les pays - y compris d'Egypte, d'Orient, de Grèce, de Madère. Des fleurs qui arrivaient séchées, des fleurs à couvrir toutes la ville...

    Et ce fut le 17 septembre, la déscente à la crypte des Capucins. Le rituel qui avait accompagné cent treize Habsbourg se passait ainsi, et se déroula de même pour Elisabeth, impératrice d'Autriche, reine de hongrie.
    Le cortège fait halte devant la grille de l'église des Capucines. Le dialogue se met en place avec le grand maître de la Cour et le père abbé. Il en fut de même pour Rodolphe, le rituel sera identique, dix-neuf année plus tard, pour François-Joseph : la puissance des grands doit devenir poussière et encore poussière devant la volonté divine.

    - Qui es-tu ? Qui demande à entrer ici ?
    - Je suis Sa Majesté l'impératrice d'Autriche, reine de Hongrie.
    - Je ne la connais pas. Qui demande à entrer ici ?
    - Je suis l'impératrice Elisabeth, reine de Hongrie.
    - Je ne la connais pas. Qui demande à entrer ici ?
    A genoux, le maître de cérémonie dit ces mots :
    - Je suis Elisabeth, une pauvre pécheresse, et j'implore la miséricorde de Dieu.
    Derrière la grille, la voix du frère moine répond :
    - Alors, tu peux entrer.

    La porte est lourde. La déscente se fait à la lumière flottante des torches. François-Joseph est en larmes. On dépose le cerceuil d'Elisabeth auprès de celui de Rodolphe.

    La Hongrie fut indignée de savoir que sur son tombeau ne figurait pas le titre "reine de Hongrie". On avait inscrit seulement "Elisabeth impératrice d'Autriche". Propablement pour ne pas exitéer la jalousie de la Bohème et des autres pays de l'Empire dont elle était aussi la souveraine.
    La rumeur fut telle, l'attachement d'Elisabeth si connu pour la Hongrie, que la nuit même (volonté sans doute de l'empereur), on grava sur son tombeau, son titre en hongrois : Erzsebeth Kiràlyné.

    Les hongrois ne l'oublieront jamais. Eljen Erzsebeth ! De nos jours, il y a toujours des fleurs blanches, fraîche, liées au drapeau hongrois au pied de son tombeau.
     
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    La tristesse de l'empereur
    164. La tristesse de l'empereur
    <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container> <div-container></div-container>L'empereur n'avait pas prévu qu'il survivrai près de vingt année à Sissi. Il mourra en pleine guerre, le 21 novembre 1916. Il avait repris ses habitudes auprès de son amie Catherine Schratt. Il avait repris ses habitudes de travailler à l'aube.

    L'Amie à veillie, grossi. Parfois, ils se disputent, ils se séparent. Il la prie d'être indulgente. Tout en lui est pétrifié. Il y a son armée.. Il travaille plus que jamais à un empire menacé de tous côtés et qui échoira à des neveux qui sont indifférents. Guillaume II a acheté l'Achilleion en 1908 et, à la place de la statue d'Achille mourant, il fit ériger sa propre statue, une hideur en bronze de plusieurs mètre de hauteur.

    Il n'appartient plus à ce texte de tracer les évènement, souvent tragiques, des dix-neuf années qui restent à vivre à François-Joseph. L'empereur est devennu si vieux, une vieillesse concentrique, cernant sa chair, chacune de ses cellules. Le plus vieil empereur du monde. Le plus vieux souverain de son temps... Il y a le téléphone, désormais à la Hofburg, que lui importe ? Il demande à être réveillé à l'aube, on le rase, on l'habille. Le même habit, le même valet. Le même barbier, les mêmes gestes. A Ischl, il caresse chaque objet qui a appartenu à Sissi. Une statuette, un fer à cheval, une théière, une pipe en porcelaine, le paravent à photographies, ses rouleaux à musique, ses carnets minuscules, sa timbale, le montre qui marque un certain arrêt "cardiaque"... Peut être l'a-t-il oublié, figé en une image unique, indéfectible ? Peut être pense-t-il parfois qu'elle est à Schönbrunn. C'était si souvent ainsi. Est-elle à Madère, à Corfou ? Que fait-elle à Genève? N'était-elle pas plus tranquille à Caux ou à Evian ? Ses chères hongroises ont l'air d'oiseaux déplumés. Il veillit, il se tait. Le silence, de plus en plus, le silence... L'aube au balcon, à Ischl. La chaise longue ou elle se tenait près de lui. Il y a peu de différence entre sa présence et son absence. Une vapeur, une buée, un chagrin diffus, engourdis. Il aime bien ses filles, Gisèle et son bon sens, Marie-Valérie et sa tribus d'enfants. Que d'enfant ! Est-ce qu'il travaille pour eux ? Stéphanie au début, l'a bien aidé à assurer les mondanités pendant le deuil... Toujours le deuil. Que fait-elle en Hongris? Il veillit, en cercle concentriques, en cellulue concentrées. Sa vue à baissé, sa voix est fêlée. Il tousse souvent mais se tient toujours aussi droit. Il sommeille quelques heures sur son lit de camps.Il s'attriste quand un de ses officiers est marqué "décédé" dans son chère annuaire. La nuit du 20 novembre 1916. Pourquoi cette grande guerre? Il demande à son valet fidèle de la réveillé à trois heures. "J'ai un travail à terminer". Il est brulant de fièvre et mourra d'une grave bronchite, entouré de ses filles, le 21 novembre. On acceptera que Catherine Schratt dépose deux roses blanches sur sa dépouille en grand habit d'apparat de Feldmarschall - tunique blanche pantalon rouge à revers d'or. Il sera inhumé dans la plus grande pompe, neuf jours plus tard. A la droite de Sissi. Pour longtemps, pour toujours.

    Dix neuf années sans elle, que c'est long... Chaque jour, dans son bureau il la retrouve. Il lève les yeux vers le portrait favori. Elle a les cheveux défaits jusqu'aux reins et une épaule si blanche. Elle sourit, elle lui sourit, de profil. Sa bouche, ses lèvres sont de petites fraises. Il la regarde.
    Ou est passé la petite fille d'Ischl qui riait sur l'escarpolette? Encore en voyage? Elle rirait de le voir si vieux.
     
     
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  • Commentaires

    1
    melz
    Samedi 17 Avril 2010 à 23:47
    Ta description empathique d'un empereur vieillissant et esseulé touche la corde du coeur la plus sensisble. As-tu pleuré en l'écrivant? Non pas peut-être, mais que c'était attendrissant. Réellement touchant. Je crois que je n'aurais pas pu ni l'imaginer ni le décrire aussi bien. C'était juste. C'était éloquent.
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    2
    PRALINES1 Profil de PRALINES1
    Dimanche 18 Avril 2010 à 00:01
    oui.. certains articles me touche.. coeur de femme (lollll)

    j fait beaucoup de recherches ds les archives et sur les site universitaires la tu trouve beaucoup..

    bonne soiree

    bisous pralines
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