• Rouge comme le Sang 

     







    Le cannibalisme rituel et spirituel :

    Les formes modernes de cannibalisme spirituel et rituel sont très similaires à celles des groupes tribaux. Toutefois, la version criminelle moderne est associée à des rituels de cultes sataniques plutôt qu'à des tribus ancestrales.

    ▶ Entre 1981 et 1982, les "éventreurs de Chicago" (Robin Gecht, Ed Spreitzer, et Andrew et Thomas Kokoraleis) ont coupé les seins de plusieurs femmes qu'ils avaient enlevées, violées, torturées et assassinées, et les ont dévorés. On a découvert que le meneur du groupe, Gecht, avait créé une sorte de culte sataniste qui impliquait d'humilier et de tuer des jeunes femmes.


    ▶ En Finlande, à Helsinki, en 1999, deux jeunes hommes, Jarno Elg et Terhi Tervashonka, et une adolescente, Mika Riska, ont été arrêtés pour avoir torturé, assassiné et dévoré un jeune homme de 23 ans. Ils ont affirmé être des satanistes ayant accompli un meurtre rituel.

    La même année, un homme dénommé Dmitry Dyomin et ses deux complices, Valentin Chelyshev et Alexei Andreyev, ont enlevé une adolescente de 15 ans à Kiev, en Ukraine. Ils l'ont assassinée, puis lui ont coupé la langue et Dyomin l'a mangée. Ils ont ensuite décapité l'adolescente et Dyomin a gardé sa tête comme trophée dans sa chambre. Les policiers ont trouvé chez lui des crânes et des livres de magie noire.

    ▶ En 2002, la police Ukrainienne a arrêté trois hommes et une femme qui avaient assassiné et mangé six personnes, dont une jeune femme de 18 ans. Les policiers ont découvert "des livres de magie noire" chez l'un des tueurs, un homme de 53 ans, et ont expliqué que les assassins avaient tué la jeune femme, l'avaient scalpée, avaient fait bouillir sa tête décapitée et l'avaient mangé avant de découper ses organes internes.


    Le cannibalisme spirituel ou rituel n'est pas obligatoirement le fait de groupes. De nombreux cas de cannibalisme individuel incorporent des aspects spirituels ou rituels dans leur pratique. Dahmer et Kemper ont affirmé que, lorsqu'ils consommaient leurs victimes, ils pensaient qu'elles devenaient spirituellement une partie d'eux-mêmes. Ils pensaient également que leur cannibalisme leur permettait d'absorber leur force ou leur pouvoir...


    Le cannibalisme épicurien ou nutritionnel :

    Le cannibalisme épicurien ou nutritionnel est motivé par un amour du goût de la chair ou pour l'appréciation de sa valeur nutritionnelle. Cette forme de cannibalisme est sans doute la plus rare. Elle est souvent considérée comme une "sous-motivation" d'autres formes de cannibalismes, comme le cannibalisme sexuel ou le cannibalisme de survie. Bien qu'il soit rare, plusieurs affaires célèbres peuvent être incluses dans cette catégorie.

    ▶ En 1981, l'étudiant Japonais Issei Sagawa a été arrêté en France pour le meurtre d'une amie hollandaise de 25 ans, Renée Hartevelt. Il l'avait invitée chez lui, puis lui avait demandé de sortir avec lui et elle avait refusé. Il l'avait alors abattue d'une balle dans la nuque. Ensuite, il avait coupé des morceaux de son corps et les avait dévorés. Il a affirmé que "rien n'est aussi délicieux". Il a été considéré mentalement aliéné et institutionnalisé durant une année avant d'être extradé vers le Japon. Une fois chez lui, son riche père lui a permis de recouvrer la liberté. Il a écrit un livre et a atteint un certain statut de célébrité.


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  • Crucifix 
    Hannibal (merci à x-emy-rock-x pour l'idée)
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    LE CANNIBALISME CRIMINEL


    Il existe quatre formes principales de cannibalisme criminel :


    Le cannibalisme sexuel
    Le cannibalisme d'agression
    Le cannibalisme spirituel et rituel
    Le cannibalisme épicurien / nutritionnel



    Ces différents aspects se superposent considérablement. Une personne peut consommer de la chair humaine pour différentes raisons, pour atteindre un sentiment de pouvoir et de contrôle (cannibalisme d'agression), une autre peut trouver son goût agréable (cannibalisme épicurien / nutritionnel), et une autre peut s'adonner au cannibalisme pour atteindre une affinité spirituelle plus élevée avec la personne qu'elle mange, tout en éprouvant un plaisir sexuel intense.



    Le cannibalisme sexuel :

    Il est considéré comme un désordre psycho-sexuel, ce qui implique que la personne sexualise la consommation de la chair d'un autre. Cela ne suggère pas nécessairement que le cannibale éprouve un orgasme uniquement en mangeant de la chair humaine, mais que cet acte peut aussi libérer une frustration sexuelle ou une colère rentrée. Le cannibalisme est envisagé comme une forme de sadisme sexuel et est souvent associé à des actes de nécrophilie.
    Andrei Chikatilo, Albert Fish, Armin Meiwes et Jeffrey Dahmer sont des cannibales sexuels.

    Dans les années 1920, l'américain Albert Fish, malgré son âge avancé, a violé, assassiné et dévoré plusieurs enfants. Fish était un cannibale sexuel dans le sens propre du terme et affirmait avoir éprouvé un énorme plaisir sexuel lorsqu'il mangeait un enfant, mais aussi quand il s'imaginait en train de le faire. Il a même écrit une lettre à la mère de l'une de ses victimes pour lui expliquer combien sa fille avait été succulente !


    Andrei Chikatilo, un instituteur ukrainien père de deux enfants, a assassiné des femmes et de nombreux enfants. Il était impuissant et ne pouvait obtenir une satisfaction sexuelle qu'en torturant et en assassinant des enfants. Il les mutilait puis consommait la chair de ses victimes, notamment les seins et les organes sexuels. Il est possible qu'il ait également ressenti un plaisir sexuel en mangeant ses victimes. Chikatilo affirmait être dégoûté par les soi-disant "mœurs relâchées" de ses innocentes victimes...

    Un autre exemple de cannibalisme, plus récent, est celui de l'Allemand Armin Meiwes, de Rotenbourg. En mars 2001, Meiwes a publié une annonce sur internet, indiquant qu'il cherchait un bel homme entre 18 et 30 ans, "désirant être mangé". À sa propre surprise, un ingénieur de 42 ans originaire de Berlin, Bernd Juergen Brandes, a répondu à son offre et s'est rendu à Rotenbourg pour le rencontrer. Ils ont discuté et ont décidé de couper le pénis de Brandes, qu'ils ont flambé et frit dans une poêle. Puis, Meiwes et Brandes l'ont mangé ensemble. Meiwes a ensuite tué l'ingénieur, coupé des morceaux de son corps qu'il a congelé, et a enterré le reste dans son jardin. Selon l'agence Reuters, la police a expliqué que cet acte avait pour base "des tendances cannibales et homosexuelles partagées par les deux hommes". Meiwes a été inculpé de meurtre "pour obtenir un plaisir sexuel" (et non de cannibalisme), reconnu coupable et condamné à 8 ans et demi de prison.

    Jeffrey Dahmer  était également un cannibale sexuel. Il a admis les meurtres, mutilations et viols de 17 jeunes hommes, qu'il a parfois mangés. Il dévorait plus particulièrement leur cœur, pensant que ses victimes pourraient ainsi revivre en lui.

    Certaines personnes affirmant s'être livrées au cannibalisme ont parlé d'un sentiment d'euphorie et/ou de stimulation sexuelle intense alors qu'ils consommaient de la chair humaine. Selon Lesley Hensel, auteur de "Cannibalism as a Sexual Disorder", manger de la chair humaine peut augmenter le niveau de vitamine A et d'aminoacides dans le corps, ce qui entraîne une réaction chimique dans le sang et le cerveau. Cette réaction pourrait provoquer les états "altérés" que certains cannibales affirment avoir vécu. Cette théorie n'a toutefois pas été prouvée scientifiquement.

    Le psychologue Steven Scher a mené l'une des rares études sur le sexe et le cannibalisme, à l'Université de l'Illinois en 2002. Durant cette étude, on demandait à plusieurs groupes de personnes de répondre à des questions concernant le cannibalisme et l'intérêt sexuel. Les résultats de cette étude ont montré que les gens ont plutôt tendance à manger quelqu'un qui les attire sexuellement. Cela suggère qu'il pourrait exister une composante sexuelle significative dans la pratique du cannibalisme.

    Parfois, à la motivation sexuelle vient s'ajouter un gain bassement financier.
    L'allemand Fritz Haarman (qui n'était pas cannibale, mais était un sadique sexuel) a assassiné une cinquantaine de garçons pauvres et sans logis, entre 1918 et 1924. Il les a attirés chez lui en leur promettant à manger ou à boire, puis les a violés, mordus à la gorge, battus et assassinés. Il les a ensuite découpés en morceaux, qu'il a vendus au marché noir comme étant "du porc" ou "du cheval"...
    Georges Grossmann a agi à la même époque, de la même manière, avec des jeunes femmes. Il a été arrêté en 1921.

    Entre 1921 et 1924, Karl Denke a assassiné des vagabonds - hommes et femmes - qui passaient par Munsterberg, en Silésie (à présent Ziebice, en Pologne), et qu'il "invitait gentiment " dans sa pension. Il a découpé leurs corps en morceaux qu'il a salés, puis les a mangés peu à peu... et en a parfois proposé à ses locataires.

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  • T.e.S.
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    LES FEMMES RAFFOLENT DES TUEURS



    Scott Peterson, l'homme reconnu coupable d'avoir assassiné son épouse enceinte, n'était pas dans le couloir de la mort depuis une heure lorsqu'il a reçu sa première demande en mariage d'une femme qui voulait être la nouvelle Madame Peterson.

    Une trentaine d'appels téléphoniques ont dû être repoussés par les surveillants le jour de son arrivée dans la prison de San Quentin : des femmes les suppliaient pour obtenir l'adresse postale de Peterson et une jeune femme de 18 ans voulait l'épouser immédiatement.

    Autant que l'on sache, ces femmes ne connaissent pas réellement Peterson. Et contrairement à son épouse décédée, Laci, elles n'ont sûrement jamais passé de temps avec lui, un "prérequis " logique à un mariage, mais selon plusieurs experts étudiants la vie des condamnés, cela n'a pas d'importance pour elles.
    Ce qui importe, c'est l'attrait d'épouser un homme célèbre, sans se soucier du fait qu'il puisse finir ses jours avec une seringue enfoncée dans son bras, lui injectant un produit mortel. Il y a le danger de tout cela et, finalement, une certaine sécurité : si les choses tournent mal, l'épouse peut s'en aller et laisser son "époux" en prison.

    "Elles aiment le statut de célébrité", explique Jack Levin, un criminologue renommé, directeur du Centre Brudnick sur la Violence à l'Université Northeastern (Boston). Levin est le co-auteur d'un ouvrage "Extreme Killing : Understanding Serial and Mass Murder", qui explore - entre autres - le phénomène des "killer groupies".

    "Ce sont le même genre de femmes qui correspondent avec les stars du rock ou les chanteurs de rap.", dit Levin.

    Lorsque l'une de ces femmes écrit à une star du rock, "le mieux qu'elle puisse espérer, c'est une réponse formatée par ordinateur ou un autographe sur une photo".
    Lorsqu'elle écrit à un criminel ou un tueur en série dans le couloir de la mort, "elle peut obtenir une demande en mariage".

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    POURQUOI TUENT-ILS ?



    Ted Bundy tuait pour le contrôle.
    Jerry Brudos tuait pour le sexe.
    Joseph Kallinger tuait parce qu'une vision lui avait commandé d'éliminer tous les êtres de ce monde.
    Richard Kuklinski tuait pour l'argent.
    Beoria Simmons tuait des femmes qu'il pensait être de "sales prostituées".



    Le serial killer qui a des visions :

    Joseph Kallinger a commencé à tuer près de chez lui. Il a tué l'enfant d'un voisin, puis une jeune femme, et enfin son propre fils. Son plan était de tuer absolument tout le monde sur la planète, et ensuite, de se suicider.
    Pourquoi ? Il expliqua que "Charlie," une tête désincarnée, flottait dans sa chambre et lui ordonnait de tuer. Même après plusieurs années d'hospitalisation, Kallinger soutenait encore que Charlie lui rendait toujours visite.
    Psychotique, souffrant d'une rupture totale avec la réalité, ce type de serial killer reçoit des ordres provenant de voix ou de visions, qui lui demandent de tuer. Richard Chase et Herbert Mullin, des schizophrènes paranoïdes, en sont un autre exemple.
    (J'en profite pour ouvrir une parenthèse et rappeler encore une fois que la majorité des personnes ayant des problèmes mentaux n'est pas violente et que la plupart des tueurs en série sont sains d'esprit !)




    Le serial killer qui pense avoir une mission :

    Ce tueur veut débarrasser la communauté d'un "élément indésirable". Qui sont les "indésirables" ? Cela dépend uniquement de l'opinion du tueur. Ils/elles peuvent être des prostitué(e)s, des drogués, des homosexuels, ou qui que ce soit ayant une race, un sexe, une profession ou une caractéristique (réelle ou imaginaire) que le tueur estime "indigne".
    Ce tueur n'est pas psychotique. Simplement, il décide de "rendre personnellement un service" au monde, à la communauté ou à son voisinage : l'éradication d'un groupe de personnes spécifiques qui sont les "éléments indésirables" de SON monde. Dans le monde de Beoria Simmons, les "indésirables" étaient les prostituées. Dans celui de Ted Kazinsky (L'Unabomber), c'était la technologie moderne et ces représentants, les scientifiques.

    Pour ces deux types de tueurs, le sexe n'est PAS un facteur de motivation.




    Le serial killer qui tue pour le plaisir :

    Il y a trois "sous-types" dans cette catégorie :

    * celui qui tue par avidité sexuelle
    * celui qui tue "pour le frisson"
    * celui qui tue pour son confort
    Les deux premiers, alimentés par leurs fantasmes, tuent pour ressentir un plaisir de nature sexuelle.

    Le premier, le "lust killer", est un prédateur sexuel attiré autant par les victimes vivantes que par les cadavres. Jerome Brudos a commencé par un fétichisme des pieds, puis est passé au meurtre, à la mutilation sexuelle et à la nécrophilie.

    Celui qui tue "pour le frisson", le "thrill killer", exige une victime vivante afin de "se nourrir" de la terreur de celle-ci. Le meurtre est un processus lent et déchirant, qui donne au tueur plus de temps pour jouir de la souffrance de sa victime.
    Il voit ses meurtres et l'enquête de la police comme un jeu. Il adore l'attention que lui portent les médias et la police, et le fait qu'il est capable d'échapper aux autorités. Il a tendance à garder une sorte de "registre" de ses meurtres, par exemple des coupures de presse qui décrivent ses crimes. Il s'amuse à déjouer les efforts de la police. Les "Hillside Stranglers" (les cousins Kenneth Bianchi et Angelo Buono) étaient des "thrill killers" qui torturaient leurs victimes.

    Le troisième "sous-type", celui qui tue pour le confort (le "comfort killer") tue pour des raisons très "terre-à-terre" : l'argent, les bénéfices d'assurance ou de business.
    Kuklinski, un tueur professionnel qui a admis avoir tué plus de 100 personnes, entre dans cette catégorie. Il n'y a pas d'aspect sexuel dans ce type de meurtre ; le "but anticipé" est d'obtenir de l'argent et de vivre "la belle vie".
    Les championnes des "comfort killers" sont les "veuves noires", qui tuent leurs maris et amants pour hériter ou toucher l'assurance-vie. Le "bon" Docteur Shipman a assassiné ses patientes après les avoir poussées à modifier leur testament en sa faveur.
    Bien que beaucoup de gens puissent ne pas considérer les assassins ou certaines personnes payées pour tuer comme des tueurs en série, je pense qu'il ne devrait pas y avoir de distinction simplement parce que le "gain anticipé" est un profit matériel plutôt que psychologique ou sexuel.

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  • Fiction & Réalité.

    Fiction & Réalité.
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    Dans les romans et les films, le tueur en série est un être doué d'une intelligence supérieure, manipulateur et superbe, qui signe ses crimes d'une manière sophistiquée, intellectuelle, en suivant un but précis (signes du zodiaque, péchés capitaux, phases de la lune, copies d'autres tueurs célèbres, etc...). C'est un être d'exception. Un monstre, l'incarnation du Mal.

    La réalité est bien plus banale, morne, et... stupide.


    ▶ Leur Mental
    Les tueurs en série tuent leurs victimes pour assouvir leur besoin de puissance et de domination. Dans leur vie de tous les jours, ils se sentent minables et rejetés. Ils sont souvent dépressifs. Les meurtres qu'ils commettent leurs permettent de "remonter dans leur propre estime", de ressentir un pouvoir absolu, grisant, sur la vie et la mort d'un autre être humain.

    ▶ L'intelligence
    La grande majorité à la même intelligence (100 de QI) que la population mondiale moyenne. Et ceux qui sont dotés d'une intelligence au-dessus de la moyenne ... ne s'en servent pas. Leur narcissisme, leur incapacité à supporter la moindre frustration les empêchent de profiter de leurs capacités intellectuelles.

    ▶ Les "Clichés"
    Les enquêteurs ne les trouvent pas simplement parce qu'ils ressemblent à "Monsieur tout le monde" et qu'ils se fondent dans la masse. Ils ne se promènent pas avec un masque blanc ou un long couteau sanguinolent, ils n'habitent pas une grande maison lugubre au fond des bois. Parfois, les enquêteurs ne les trouvent pas parce qu'ils ne les cherche pas. Ainsi, Jeffrey Dahmer n'a assassiné que de jeunes homosexuels, souvent des sans-abri ou des fugueurs. Souvent, ses victimes n'étaient même pas signalées comme étant "disparues". (Et, il faut bien le dire, les policiers de Milwaukee n'étaient pas vraiment inquiets que des gays disparaissent, surtout s'ils étaient noirs ou asiatiques...* CQFD).

    ▶ La Signature
    La seule "signature" qu'ils laissent est dans leur manière de tuer, en relation directe avec leur fantasme (lacération, arme à feu, strangulation, coups de couteau, viol, décapitation, cannibalisme, nécrophilie, etc), ainsi que dans ce qu'ils font avant et après le meurtre (manière d'attaquer la victime, de la suivre, fouille de la maison, vol d'objet personnel, positionnement du corps, etc).

    ▶ Lâches & Menteurs
    Dans leur grande majorité, ils savent que "tuer est mal". Mais ils n'assument pas leurs crimes et se disent poussés par la société. Ou par leur père ou leur mère, par les femmes, par leur patron, par le Diable, par le chien du voisin... Ce sont des lâches et des menteurs. Généralement, une fois arrêtés, ils avouent tout et même plus, à la fois pour se soulager et pour se vanter. Puis, ils se rétractent et jurent de leur innocence ou assurent être fou ou possédés du Diable...

    ▶ Déguisement
    Ils sont ouvriers ou employés, patrons, étudiants, anciens militaires, mariés, voir pères de famille.
    L'un se déguise en clown pour les enfants (Gacy), l'autre est bénévole à "SOS amitié" (Bundy), l'un est volontaire dans le programme de co-voiturage de son compté (Suff), l'autre emmène des gamins pauvres en camping (Bishop)... etc.

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