• legende urbaine

    Jardin mon beau jardin   

    Jardin mon beau jardin
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>C'est l'histoire d'un jardinier, et il adore son métier. Un jour, il acquit une nouvelle parcelle de terrain. Et comme tous les matins, il l'a bêcha. Mais un jour, il tomba sur un os. Au début, il n'y prêta aucune attention, se disant que c'était peut-être un os enterré là par un chien. Mais au fil des jours, il découvrit d'autres ossements dans sa parcelle.
    Il alla alors à la mairie, et il découvrit que sa parcelle se trouvait sur un ancien cimetière indien. Il demanda conseil au maire, qui lui recommanda de ne rien toucher jusqu'à l'arrivée des experts le lendemain. Mais le jardinier ne put s'en empêcher, attiré par des richesses hypothétiques, et il creusa une bonne partie de la nuit.
    Le lendemain, quand les experts arrivèrent, ils découvrirent le corps du jardinier, mort, et toutes les fleurs étaient fanées autour de lui.

    il faut écouter la radio

    il faut écouter la radio
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>C'est l'histoire d'une petite famille qui habitait tous près de Melen. Il y avait les parents (evidement) et 2 filles et 1 garçon. les filles s'appelaient Camille (16 ans) et l'autre Alison (5ans) et le garçon s'appelait David (17 ans). Ils revenaient tous d'une soirée et ils étaient mort fatigués, Alison avait très faim et resta dans la cave pendant que les autres montèrent les escaliers pour aller dans le salon. Alison prit un chips et décida de rejoindre les autres, mais elle allait monté les 2 dernière marches quand tout a coup elle vit du sang étalé sur la dernière marche, elle remonta une marche et vit ses parents étendu sur le sol mort et baignant dans leurs propre sang, et a cotés elle vit des ombres, comme si qqu1 ce battait avec qqu1 d'autres, puis 2 secondes après, Alison vit 1 des 2 ombres tombés sur le sol, elle ce dit "c'est surement mon frère qui vient pour me sauver" et alors elle resta comme figée mais dès qu'elle a vu que ce n'était pas son frère mais un homme couvert de sang avec un couteau en main elle alla vite ce cacher dans la machine a lessiver (elle pouvait y rentrer vu que c'était une petite fille de 5 ans), et ce demanda si sa grande soeur était toujours vivante, puis elle entendit des cris venant de la chambre de sa soeur, elle prit son courage a deux main et courri vers la chambre de sa soeur, dès qu'elle arriva devant elle vit sa soeur ce faire égorgé par l'homme, Alison est arrivée trop tard ... mais l'homme voyant la gamine ce dirigea vers elle, Alison pris la fuite, mais vu que c'est une gamine l'homme court plus vite qu'elle et effectivement il la rattrapa et ...
    Legend Urbaine
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>La nuit, les habitants de certaines villes de l'Inde seraient subitement frappés au visage par des "hommes-singes" (cette légende, l'Homme-singe de New Delhi, apparue au début des années 2000 rejoint des thèmes très anciens comme la lycanthropie), voire par des boules brillantes et colorées.


    Si seulement ils avaient écoutés la radio, on avait annoncé que un tueur en série venait de s'échaper de la prison qui ce trouve a coter de Melen.

    Coup de chance ?

    Coup de chance ?
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Un homme perd son portefeuille sans s'en rendre compte. Une personne qui le trouve par terre lui rend. Il lui aurait alors dit, pour le remercier, d'éviter tel centre commercial le dimanche d'après. Le centre commercial aurait explosé suite à un attentat ce fameux dimanche. Cette légende marche aussi pour des stations de métro/trains et on la retrouve dans toutes les villes : Paris, Dijon, Lyon, New York. Elle est ressortie d'ailleurs après le 11 septembre avec, au lieu du centre commercial, les tours

    La vériter des enfant

    La vériter des enfant
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Nous sommes en 1692, dans l'état du Massachusetts aux États Unis, dans la petite ville de Salem. Samuel Parris, le pasteur du village vit tranquillement avec sa femme, sa fille Élisabeth, sa nièce Abigael et son esclave Antillaise Tituba.

    Tituba la jeune esclave passait beaucoup de temps avec les deux jeunes filles et leurs racontait souvent des histoires, des contes et légende des Antilles, leurs parlant de sorcellerie, de Vaudou et de toute sorte d'histoire du folklore de sa région de naissance. Les deux fillettes sont passionné par ces récits, et, petit à petit sombre dans une forme de délire. Elles font progressivement des crises de convulsions, délirent devant tout le monde... La médecine de l'époque ne vit aucun trouble, elles étaient toute les deux en parfaite santé. On déclara qu'elles avaient été victime de sorcellerie...

    A cette époque la religion est très implanté, et les deux jeunes filles se croient possédé par le démon et lance des accusations de sorcellerie.

    L'esclave de la famille sera arrêter pour sorcellerie, ainsi que deux femmes, Sarah Osborne qui allait rarement à l'église et une mendiante Sarah Good. Lors du procès mener par Jonathan Corwin et John Hathorne dans une maison que l'on appellera la maison des sorcière, chaque fois que les deux fillettes regardait les « sorcières » elles étaient prise de convulsion, de tremblement et criait qu'elles avaient été possédé. Les deux jeunes fille accusèrent une centaine de personne, et même deux chiens. A cette époque pour s'en sortir il était préférable d'avouer pour évider le bûcher et donc ils avouèrent les faits, il y eut de nombreuse exécution. Tout les marginaux, les gens un peu étrange était accusé sans aucune raison, et furent emprisonné quelques mois après plus de soixante dix personnes étaient dans les prisons de Salem et de Boston.

    Tout ceci ce continua jusqu'à ce qu'une accusation tomba sur la femme du gouverneur locale... Finalement tout fut remis en question au moment où le gouverneur fit une enquête pour disculpé sa femme et aussi car de nombreuses pétitions avaient été écrite, et les deux fillettes reconnurent avoir mentie. Les gens qui avaient été condamner furent innocenté et libéré, des excusent furent présenté mais hélas plusieurs personne périr. Plus de 200 personnes furent accusé de sorcellerie pendant cette période à cause du délire lié à des peurs superstitieuse de deux fillettes...


    Ce n'est pas parce que des enfants dise quelque chose que c'est forcement vrai....

    les livres

    les livres
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>X était un écrivain renommé, un grand nom dans la littérature, on l'enviait plus souvent qu'on ne l'aimait. Il recevait chaque jour des tonnes de manuscrits et on lui demandait son avis. Malheureusement, X était un homme cruel, qui prenait plaisir à faire le mal. Il lisait les manuscrits avec attention, mais répondait aux jeunes écrivains qu'ils n'ont aucun talent.
    Un jour, il reçut un manuscrit qui semblait assez vieux. X l'ouvrit : un message écrit de la main d'une dame le complimentait. Flatté, X fondit sous le charme assez gamin de la dame et commença à lire.
    Au fil des pages, il commença à avoir du mal à ouvrir les yeux, il était fatigué, comme incapable de faire quoi que ce soit. Pourtant il continuait à lire, parce qu'il avait l'impression qu'il avait déjà lu ce livre, qu'il connaissait déjà la fin. Et puis, les pages étaient collées.
    La fin, il croyait déjà la connaître : le mari est en prison, la femme meurt au moment pile où son époux est pendu. C'est exact.
    De plus en plus fatigué, il allait refermer le livre pour aller dormir, quand il vut qu'il y avait encore une page.
    Se demandant ce qu'on pouvait rajouter à tel fiasco, il lut fébrilement les lignes écrites de la main de la dame que voici :

    "Cher monsieur X,
    Je sais ce que vous allez me répondre : "VOTRE LIVRE EST D'UN ENNUI MORTEL", vous me l'avez déjà dit. Vous ne vous souvenez pas ? Il y a quelques mois, je vous ai envoyé ce manuscrit. (Là X comprit pourquoi il avait l'impression d'avoir déjà lu le livre) J'ai passé de longues années à travailler cette histoire, à la peaufiner, à l'expérimenter, et je suis dégoûtée de voir comment vous avez pu jeter ces années de travail aux orties. J'ai cherché à me venger. Et il n'y a pas si longtemps, j'ai bêtement trouvé. Vous vous sentez fatigué M. X ? (X fut effrayé il commençait à comprendre) C'est normal, j'ai trempé ces pages dans de l'arsenic, vous avez du décoller les pages pour lire... Ne dérangez pas l'hôpital, l'arsenic n'a pas d'antidote, et puis ça fait trop longtemps que vous en avez absorbé.

    En espèrant que l'enfer vous plaira, M. X."

    X lâcha le livre, tomba sur le sol, empoisonné. Cherchant à prévenir les voisins, il tenta de ramper jusqu'à la sortie, mais il mourut à même pas un mètre de la porte.

    On ne retrouva jamais la femme , elle n'avait pas mis d'adresse sur l'enveloppe et la lettre était anonyme, elle avait du glisser le paquet dans la nuit sans que personne ne s'en aperçoive...


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