• JOHN WAYNE GACY - LE CLOWN TUEUR

    JOHN WAYNE GACY - LE CLOWN TUEUR
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>John Wayne Gacy est né le 17 mars 1942 à Chicago.
    En public Gacy était un militant politique apprécié et un homme charitable. Il se rendait dans les hôpitaux, déguisé en clown, pour distraire les enfants malades, on le surnomma par la suite le «clown tueur» car en privé, il était un être sadique animé par des pulsions morbides.

    En 1978, la police est venue chez lui après des recherches à propos d'étranges disparitions de jeunes hommes ayant travaillé pour lui. Des enquêtes plus approfondies ont révélé qu'il était impliqué dans ces disparitions. 27 cadavres ont été retrouvés enterrés dans le vide sanitaire sous sa demeure et 6 autres corps ont été repêchés dans la rivière Des Plaines.

    Les voisins se plaignaient d'odeurs venant des sous-sols de la maison des Gacy, qu'il avait essayé d'atténuer avec de la chaux et en prétextant avoir des problèmes d'égouts bouchés. Inculpé pour le meurtre de 33 jeunes hommes, Gacy était un criminel patenté malgré son apparence altruiste. Il était un membre influent de la communauté, travaillait pour des organisations bénévoles. Il s'est marié deux fois et était un respectable homme d'affaires. Cependant, il avait une vie privée bien singulière: il aimait avoir des relations homosexuelles avec des individus bien plus jeunes que lui, qu'il assassinait par la suite.

    Il a commencé à les recruter dans son entourage lorsqu'il proposait des petits boulots aux jeunes de son quartier. D'ailleurs, la plupart de ses victimes faisaient partie de ses employés. Il aimait les menotter et les violer brutalement avant de se débarrasser des corps. Après une tentative infructueuse de plaider la folie lors de son procès, il fut condamné à la peine capitale. Il a été exécuté le 10 mai 1994 par injection létale.


    Rem: Devant la cour, Gacy fait la démonstration de la manière dont il avait tué la plupart des adolescents, se servant d'un chapelet comme garrot, en serrant autour de leur cou à l'aide d'un stylo.


    SON ENFANCE

    Gacy était détesté par son père, en effet, celui-ci préférait nettement ses filles à son fils, peut-être parce que l'enfant montra très tôt une personnalité dominante, comme celle de son père. Gacy était gros et tout le temps malade, c'était le vilain petit canar de la famille.
    Les fréquentes maladies de Gacy (il tombait souvent dans les pommes, problèmes respiratoires, ...) avaient probablement une origine psychosomatique – elles étaient une sorte de défense inconsciente contre les brimades incessantes de son père.

    Le père de Gacy souffrait d'un alcoolisme sévère et c'était un homme très autoritaire. Il maltraitait son fils, le battait, le humiliait. Il lui disait souvent qu'il était «le chouchou de sa maman» et qu'il finirait sans doute «pédé» (Gacy avait des tendances efféminés).

    La vie sexuelle de Gacy débuta tôt. A l'âge de 4 ans, une arriérée mentale âgée de 15 ans lui ôta son pantalon et se livra à des attouchements sur lui. A l'âge de 6 ans, Gacy fut surpris avec le fils d'un voisin et sa petite sœur: tous trois, nus, s'adonnaient à des jeux sexuels. Gacy se fit corriger brutalement par son père.


    ETAT PSYCHOLOGIQUE

    Le manque d'amour paternel dont il avait souffert dans son enfance fit de Gary un être dangereusement inadapté à la vie adulte. Les psychiatres ont déduit que le sadisme de Gacy était une réaction contre son père. Pourtant, quant on l'interrogea au sujet des relations qu'il entretenait avec sa famille, Gacy nia farouchement avoir détesté son père!

    Gacy détestait les homosexuels. Il avait déclaré aux enquêteurs que ses victimes «méritaient» de mourir. Il affirma au psychiatre qu'il projetait sa propre homosexualité sur ses victimes. En les tuant, il se débarrassait symboliquement de cette homosexualité.

    Selon les psychiatres, l'intelligence de Gacy était bien au-dessus de la moyenne et que les examens révélaient qu'il était atteint de schizophrénie paranoïde.


    CELEBRITES INSPIRES PAR JOHN WAYNE GACY

    Un des membres du groupe de Marilyn Manson s'est inspiré de John Wayne Gacy et de la diva Madona pour créer son nom de vedette: MADONNA WAYNE GACY. (Pratiquement tous les membres du groupe ont un nom de sex-symbol doublé de celui d'un tueur en série).

    Plusieurs scénaristes ont été inspirés par la vie de John Wayne Gacy, notamment CLIVE SAUNDERS pour le film «GACY» sorti en 2003.

    SUFJAN STEVENS lui dédie une chanson sur son album «Come on feel the Illinoise».

    STEPHEN KING s'est inspiré de ce clown pour écrire «Ça», un roman d'horreur où un clown dévore des enfants.

    Le groupe DOG FASHION DISCO lui a consacré une chanson, «Pogo the Clown».

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  • Albert Fish, loup-garou de Wisteria (1925-1936)

    Albert Fish, loup-garou de Wisteria (1925-1936) ***      

     

    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Sado-masochiste, cannibale, Albert Fisher a torturé et assassiné 15 enfants (officiellement) mais il a avoué une centaine de meurtres...

    Intro

    Ce tueur en série a laissé une vie entièrement dévouée aux perversions sexuelles sous toutes les formes. Pornographie, fétichisme, voyeurisme, sadisme, masochisme, flagellation active, autocastration, bestialité, prostitution, coprophilie, coprophagie et bien sûr, cannibalisme. Il aimait s'introduire des carottes et des saucisses dans le derrière avant de les manger, s'introduire des cotons imbibés d'essence dans l'anus avant d'y mettre le feu ou se fouetter au sang avec une planche truffée de clous...

    Un grand nombre de spécialistes du comportement se sont penchés sur cette existence hors du commun et tous considèrent cet individu, initié à la masturbation dès l'âge de 5 ans et attiré par le sado-masochisme deux ans plus tard, comme l'un des plus grands pervers de l'histoire du crime....


    Vie et crimes


    Il nait en 1870 à Washington dans une famille respectable mais avec un lourd passé d'alcoolisme et de maladie mentale. Son père est mort quand il avait 5 ans. Sa mère ne pouvait pas l'élever et il fut placé dans un orphelinat. Plus tard, il devint peintre, se marie et a 6 enfants. Elle le quitta pour un autre et Albert éleva seul ses enfants.

    A partir de ce moment, son envie de cannibalisme le poussa à manger de la viande crue et à en servir à ses enfants. Bien qu'il n'est pas abusé de ceux-ci , on sait qu'il les obligeait à le fouetter avec une pagaie parsemée de longs clous.

    A New York, agé de 58 ans il réponda à l'annonce d'un jeu homme de 18 ans , Edward Bud .
    Il se présenta à la ferme des Bud sous le prétexte de l'annonce de leur fils . Il était venu avec des fraises et du fromage. Il avait tout d'un homme bon, généreux et fragile. Mais lorsque il vu la petite fille des Bud , son esprit morbide bascula de façon diabolique . Il insista au près de la famille Bud d'emmener leur fille à l'anniversaire de sa nièce. D'abord rétissant, ils accèptèrent l'offre de Fish . Ils ne reverront jamais leur fille vivante. En 1930 la disparition de la fillette n'était toujours pas élucidée . Il continuera ainsi quatre ans a tué des jeunes enfants . Il sera appréhendé grâce à une lettre qu'il envoya à la famille Bud. Elle disait ceci :

    "Cher Mme Bud,

    Je suis venu chez vous , je vous ai apporté du fromage et des fraises et nous avons déjeunés. Grace s'est assise sur mes genoux et m'a embrassé . J'ai décidé de la manger et j'ai prétendu vouloir l'emmener à un anniversaire. Vous avez dit oui. Je l'ai emmenée dans une maison vide de Wechester que j'avais déjà choisi. Quand nous sommes arrivés, je lui ai dit de rester dehors. Elle cueillit des fleurs sauvages et je suis monté à l'étage , j'ai enlevé tout mes vêtements. Je savais que si je ne le faisais, pas je les tacherai de sang. Quand tout était prêt, je suis allé à la fenêtre et je l'ai appellée , puis je me suis caché dans le placard jusqu'à ce qu'elle entre dans la chambre [...] Je l'ai étranglée et puis je l'ai découpée en petits morceaux pour pouvoir emmener ma viande dans ma chambre, la cuire puis la manger. Comme son petit cul était tendre et délicieux , bien roti au four! Il m'a fallu neuf jours pour manger tout son corps . Je ne l'ai pas baisée , j'aurais pu si j'avais voulu. Elle est morte vierge ."


    Pendant les audiences, il raconta quelques crimes qu'il a commis... en voici un exemple (âme sensible s'abstenir...)

    A propos du cas d'un petit garçon, petit Billy Gaffney:
    "Je l'ai fouetté jusqu'à ce que le sang coule sur ses jambes. J'ai coupé les oreilles et le nez, agrandi la bouche d'une oreille à l'autre, sorti les yeux des orbites.(...) Enfoncé le couteau dans le ventre et y ai placé ma bouche pour boire le sang. Puis je l'ai démembré , et j'ai coupé le tronc au-dessus du nombril, et les jambes à environ cinq centimètres en dessous de son derrière. Après j'ai tranché la tête, les pieds, les bras et les jambes au-dessus du genou.(...)Je suis rentré chez moi en emportant de la viande, mes morceaux préférés, son sexe, ses rognons et un délicieux petit derrière bien grassouillet pour le rôtir au four et le dévorer. J'ai préparé un ragoût avec ses oreilles, son nez, des morceaux de visage et du ventre . J'y ai mis des oignons, des carottes, des navets, du céleri. C'était bon ! Les fesses , je les ai coupées en deux , et mises sur un plat avec sur chacune des lanières de bacon.(...) J'ai versé un demi-litre d'eau pour le jus de la sauce avant d'y mettre des oignons . (...)A intervalles fréquents, j'ai arrosé de jus son derrière avec une cuillère en bois afin que la viande soit juteuse.(...)J amais je n'ai mangé une dinde rôtie qui ait été la moitié aussi excellente que ce délicieux petit cul grassouillet.(...) J'en ai mangé pendant quatre jours. Par contre, ses petites roubignolles étaient trop dures. je n'arrivais pas à les mâcher . Je les ai jetés dans les toilettes.(...)"



    Masochiste, il s'enfonca 27 aiguilles entre les jambes et les y laissa ce qui provoqua un court-circuit lors de son exécution ce qui obligea la police à lancer autres décharges électriques . Il fut exécuté à l'age de 67 ans...

    Mode opératoire
    Sa technique est à peu près toujours la même. Il séduit les enfants en leur offrant des bonbons ou quelques pièces de monnaie. Son pouvoir de séduction sur les gosses est réel et il les emmène sans trop de difficulté dans des caves, des maisons abandonnées, des lieux retirés repérés à l'avance, et chez lui lorsque c'est possible.

    Il les réduit à l'impuissance soit en les attachant, soit en les mutilant avant de les violer , de les battre et enfin de les tuer. Souvent il les torture plusieurs jours de suite avant de les achever. Il ne les baillonne que lorsque il estime sa sécurité en jeu, car dit-il , "Je préfère de beaucoup les entendre hurler de douleur."
    Il choisit ses petites victimes de préférence parmi la population noire des ghettos car il a remarqué "que les autorités ne s'inquiètent guère de la disparition d'enfants noirs ".

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  • Pourquoi tuent-ils?

     

    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Les tueurs en série sont différents : ils tuent pour le pouvoir, le contrôle, le sexe ou l'argent. Je vais vous donner des exemples de Serial Killer.

    Le serial killer qui a des visions :
    Kallinger a tué l'enfant d'un voisin, puis une jeune femme, et enfin son propre fils. Son plan était de tuer absolument tout le monde sur la planète, et ensuite, de se suicider. Pourquoi ? Il expliqua que "Charlie," une tête désincarnée, flottait dans sa chambre et lui ordonnait de tuer. Psychotique, souffrant d'une rupture totale avec la réalité, ce type de serial killer reçoit des ordres provenant de voix ou de visions, qui lui demandent de tuer.

    Le serial killer qui pense avoir une mission :
    Ce tueur veut débarrasser la communauté d'un "élément indésirable". Cela peut être des prostituées, des drogués, des homosexuels, ou qui que ce soit ayant une race, un sexe, une profession ou une caractéristique (réelle ou imaginaire) que le tueur estime "indigne". Ce tueur n'est pas psychotique. Il pense que c'est un élément indésirable dans SON monde.

    Le serial killer qui tue pour le plaisir :
    Il y a trois sous-types dans cette catégorie : celui qui tue par avidité sexuelle, celui qui tue "pour le frisson", et celui qui tue pour son confort.

    Le premier, le "lust killer", est un prédateur sexuel attiré autant par les victimes vivantes que par les cadavres. Jerome Brudos a commencé par un fétichisme des pieds, puis est passé au meurtre, à la mutilation sexuelle et à la nécrophilie.

    Celui qui tue "pour le frisson", le "thrill killer", exige une victime vivante afin de "se nourrir" de la terreur de celle-ci. Le meurtre est un processus lent et déchirant, qui donne au tueur plus de temps pour jouir de la souffrance de sa victime. Il voit ses meurtres et l'enquête de la police comme un jeu. Il adore l'attention que lui portent les médias et la police, et le fait qu'il est capable d'échapper aux autorités. Il a tendance à garder une sorte de "registre" de ses meurtres, par exemple des coupures de presse qui parlent de ses crimes.

    Enfin, celui qui tue pour le confort (le "comfort killer") tue pour des raisons telles que l'argent, les bénéfices d'assurance ou de business. Il n'y a pas d'aspect sexuel dans ce type de meurtre. Le but est d'obtenir de l'argent et de vivre la belle vie. Les championnes des "comfort killers" sont les "veuves noires", qui tuent leurs maris et amants pour hériter.

    Le serial killer qui tue pour le pouvoir, le contrôle :
    La motivation de ce type de tueur est centrée sur le besoin de pouvoir et de domination. Il est motivé dans une grande mesure par des facteurs sexuels (dans ses actes de sadisme, de nécrophilie et de cannibalisme). Toutefois, le vrai plaisir est d'être maître du destin de la victime, entièrement entre ses mains. Ces tueurs sont plus excités par la vue de leur victime terrorisée et par ses cris, que par le meurtre lui-même.

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  • Jeffrey Lionel Dahmer, le cannibale de Milwaukee

     

    Jeffrey Lionel Dahmer, le cannibale de Milwaukee ***
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Résumé :
    Quand il était petit, Dahmer dépeçait des animaux. Devenu adulte, il a violé, assassiné et démembré des jeunes hommes. Il était nécrophile et cannibale( !!! ) Il s'est attaqué à des sans abri, homosexuels, noirs ou asiatiques : la police ne se préoccupait pas de leur disparition ( !!! ) Il découpait les corps en morceaux, les jetait dans de l'acide, ou les mangeait, ou les gardait dans son frigo ou, encore, en décorait sa cheminée... Il voulait les avoir totalement en son pouvoir, obtenir des "zombies" qui auraient exaucé le moindre de ses désirs... Il a été arrêté parce que sa dernière victime a pu s'échapper et a ramené la police chez lui. Ces crimes datent des années 1980.

    Son enfance
    D'après le père de Dahmer, A 8 ans, Dahmer a été sexuellement agressé par un ado et cet incident peut peut-être aider à comprendre les crimes de Dahmer que je vais donner en détails.

    Sa mère avait des problèmes mentaux (toujours énervée) et son père était un pharmacien. Ils ne s'occupaient pas beaucoup de leur fils. Dahmer avait des « amis imaginaires » et faisaient déjà peur à ses camarades de classe. C'était quelqu'un intelligent mais qui n'utilisait pas son potentiel. C'était aussi un grand solitaire.

    A 10 ans, Dahmer faisait des expériences avec des animaux morts : il décapitait des rongeurs et blanchissait des os de poulet avec de l'acide. D'ailleurs, un jour, il cloua un chien mort sur un arbre et planta la tête coupée du chien sur un pieu..( !!! ). En fait, il aimait voir l'intérieur des animaux.. En plus, son père étant pharmacien, il lisait des livres d'anatomie et de chimie.

    A 16 ans, Dahmer, devint alcoolique et asocial. Ses parents se désintéressèrent totalement de lui et divorcèrent. Il vit donc avec sa mère.

    Ses crimes
    Il passa des expérimentations morbides sur des animaux au meurtre d'un être humain.

    1ère victime : Un jeune auto-stoppeur, Steven Hicks. Il le ramena chez sa mère, absente, pour "boire un coup, fumer un pétard et rigoler". Mais quand Hicks voulut partir, Dahmer lui fracassa le crâne avec une haltère et l'étrangla. Puis, il traîna le corps dans un espace, sous la maison, où il resta quelques jours. Mais l'odeur de décomposition devint trop forte, et Dahmer le coupa en morceaux et mis ceux-ci dans des sacs plastiques. Il les enterra finalement derrière la maison.

    Ensuite, pendant 9 ans, il ne tua plus mais ses fantasmes grandirent. Il essaya toutes les autres manières possibles de satisfaire ses pulsions. Lorsqu'on lui a demandé ce qui l'avait fait tenir durant toutes ces années, il a répondu : "l'alcool, la pornographie et la masturbation."
    Dahmer accepta son homosexualité en 1981 et devint un habitué des bars gays. En 1982, il s'installe dans la maison de sa grand-mère à West Allis (Wisconsin)...il vivait à la cave ( !! ). Il fut arrêté en 1986 et déclaré coupable de "violation de l'ordre publique"(masturbation en publique). Après sa libération (1 an), il tua de nouveau.

    2ème victime : Le 15 septembre 1987, Dahmer passa la journée à boire dans un bar gay où il rencontra Steven Tuomi. Ils discutèrent pendant des heures, puis quittèrent le bar ensemble. Ils allèrent dans un hôtel et prirent une chambre. Dahmer déclara ne pas se souvenir de ce qui s'était passé une fois dans la chambre, mais seulement qu'il avait "beaucoup bu ».Il ne se souvint pas de ce qu'il s'était passé mais Tuomo était mort ! (sans doute étrangler).. Paniqué, Dahmer se précipita dans un magasin pour y acheter une valise, où il a déposa le corps de Tuomi, après l'avoir démembré. Puis, il appela un taxi et ramena la valise dans la maison de sa grand-mère, à la cave. Là, il continua à le découper. Lorsqu'il eut terminé, il mit les morceaux dans des sacs plastiques et les jeta dans la poubelle ! On ne retrouva jamais le corps de Steven Tuomi. Le mystère resta entier jusqu'à ce que Dahmer confesse son meurtre en 1991.

    3eme victime : Le 16 janvier 1988, Dahmer s'approcha d'un jeune prostitué de 14 ans, James Doxator. Il lui proposa de l'argent pour tourner une vidéo avec lui. Doxtator accepta, et Dahmer l'amena dans sa cave. Il lui offrit un verre avec des somnifères et, lorsque Doxtator se fut endormi, il l'étrangla. Dahmer plonga le corps dans de l'acide pour enlever les chairs. Il brisa les os en morceaux qu'il répandit dans le jardin, et mit la chair dans des sacs, qu'il enterra sous la maison. La mère de James Doxtator signala sa disparition le 18 janvier. La police ne retrouva son corps que trois ans plus tard.

    4eme victime : Le 24 mars 1988, Dahmer rencontra Richard Guerrero dans un bar. Guerrero était fauché, aussi Dahmer lui proposa-t-il de l'argent s'il venait chez lui pour "tourner une petite vidéo". Guerrero accepta. Dans la cave de la grand-mère de Dahmer, ils eurent une relation sexuelle, puis Dahmer offrit un verre à Guerrero. Dès qu'il s'endormit, Dahmer l'étrangla puis le démembra. Il jeta les morceaux dans la poubelle... Pablo Guerrero déclara la disparition de son fils à la police le 29 mars. Il fit publier des annonces dans la presse local, avec une photo récente, mais ne reçut jamais aucun réponse.

    En septembre 1988, la grand-mère de Dahmer commença à s'inquiéter de l'odeur infecte provenant du sous-sol et du fait que son petit fils ramenait des "garçons" chez lui. Quand le père de Dahmer inspecta la chambre/cave de son fils, il trouva un résidu noir et collant, semblable à ce que l'acide fait à de la chair. Lorsqu'il questionna son fils à ce sujet, Dahmer lui répondit qu'il faisait des expériences avec des animaux. Comme Lionel Dahmer ne se préoccupait pas vraiment de ce que faisait son fils,il ne s'inquiéta plus. Mais la grand-mère de Dahmer lui demanda de trouver un autre logement. C'est alors qu'il aménagea dans un appartement toujours dans la même région.

    5eme victime : Dahmer attira chez lui un jeune Laotien ( !!! ) Keison Sinthasomphone, en lui promettant des friandises, le caressa et l'embrassa, puis lui proposa de l'argent s'il acceptait de poser nu pour des photos. Le garçon refusa et parvint à s'enfuir. La Police fut appelée, et Dahmer fut accusé d'agression sexuelle. Il passa une semaine en prison avant d'être libéré sous caution. Dahmer fut déclaré coupable le 30 janvier 1989. Le juge, décida de la condamner à 5 ans de mise à l'épreuve et à un an et demi dans une maison de correction (avec semi-liberté) pour qu'il puisse continuer à travailler. Dahmer resta pourtant libre jusqu'à la sentence "officielle", prévue le 23 mai. Entre temps, le 25 mars, il assassina Anthony Sears.

    6eme victime : Le 25 mars 1989, Jeffrey Dahmer rencontra Anthony Sears. Sears s'approcha de Dahmer et ils commencèrent à discuter. Dahmer n'avait pas voulu "inviter" Sears chez lui, car il pensait que la police pouvait surveiller son appartement. Ils eurent des relations sexuelles, puis Dahmer offrit à verre à Sears. Lorsque ce dernier se fut endormi, Dahmer l'étrangla. Son crâne, son scalp et ses parties génitales furent découvertent dans l'appartement de Dahmer lors de son arrestation, deux ans plus tard.

    Condamné, en mai donc, à une année et demi de semi-liberté, Dahmer fut libéré après 10 mois ( !!! ). Il retrouva son appartement.

    7eme victime : Le 20 mai 1990, deux semaines après avoir emménagé, Dahmer rencontra un jeune homme noir nommé Raymond Smith. Ray venait d'arriver à Milwaukee et il rencontra la mauvaise personne au mauvais moment ( !!! )... Dahmer lui demanda s'il accepterait de poser nu pour des photos, en échange d'un peu d'argent. Ray accepta son offre et l'accompagna jusqu'à son appartement, où il fut drogué et étranglé. Dahmer eut des relations sexuelles nécrophiles avec le corps. Puis, il le démembra et jeta les morceaux dans la poubelle. L'un des crânes peints trouvés chez Dahmer fut identifié comme étant celui de Ray Smith.

    8eme victime : Le 24 juin 1990, Dahmer rencontra un jeune homme noir, Edward Smith. Ils allèrent à l'appartement de Dahmer en taxi et eurent des relations sexuelles. Smith fut ensuite drogué et étranglé. Dahmer démembra le corps, puis le plaça dans de l'acide pour séparer les chairs. Il jeta les morceaux du corps dans la poubelle.

    9eme victime : Le 8 juillet 1990, Dahmer décida de changer de "mode opératoire" (voir article précédent) et de ne pas droguer sa victime. Un adolescent hispanique de 15 ans avait accepté de poser nu pour lui. Dahmer prit un maillet et tenta de le frapper à la tête. Le garçon se débattit et réussit à s'échapper. Il alla porter plainte à la police, mais lorsqu'il demanda aux officiers de ne pas dire à ses parents qu'il était homosexuel, les policiers décidèrent de ne pas donner suite à sa plainte ( !!!!!!!! ).

    10ème victime : Le 3 septembre 1990, devant une librairie homosexuelle, Dahmer discuta avec un jeune homme Ernest Miller. Ce dernier accepta d'accompagner Dahmer jusqu'à son appartement, où ils eurent des relations sexuelles. Puis Dahmer le drogua et lui coupa la gorge. Il plaça le corps dans de l'acide et blanchit le squelette. Son crâne fut peint et son squelette entier conservé dans un placard ( !!! )

    C'est à cette époque que les voisins de Dahmer commencèrent à se plaindre de l'odeur putride qui venait de son appartement. Dahmer expliqua au propriétaire que son réfrigérateur était cassé mais qu'il allait le réparer le plus rapidement possible.

    11ème victime : Trois semaines plus tard, le 24 septembre 1990, Dahmer rencontra David Thomas. Il l'attira chez lui et le drogua. Il déclara par la suite qu'il n'avait pas voulu tuer Thomas, mais qu'il s'était inquiété du fait que le jeune homme puisse être en colère lorsqu'il se réveillerait et réaliserait que Dahmer l'avait drogué. Il décida donc de le tuer. Le lendemain, Dahmer le démembra et pris des photos. On ne retrouva jamais son corps. Sa sœur déclara sa disparition le même jour. Elle l'identifia sur les photographies que Dahmer avait prises alors qu'il le démembrait.

    12ème victime : Le 18 février 1991, Dahmer rencontra un jeune homme de 19 ans, Curtis Straughter, qui voulait devenir mannequin. Dahmer lui proposa de poser pour des photos et Straughter accepta. Il l'étrangla avec une courroie en cuir. Puis, il le démembra et écrasa ses os. Dahmer garda son crâne, ses mains et ses organes sexuels, qu'il photographia, et jeta le reste du corps à la poubelle. Ils furent trouvés dans son appartement lors de son arrestation. La grand-mère de Straughter déclara sa disparition le 20 février, et son crâne fut identifié grâce à sa dentition.

    13ème victime : Le 7 avril 1991, un jeune homme noir, Errol Lindsey, parla avec Jeffrey Dahmer et le suivit jusqu'à son appartement en échange d'un peu d'argent. Lindsey fut drogué et étranglé. Dahmer eut des relations sexuelles avec son cadavre, puis le démembra et l'écorcha, et garda la peau durant quelques semaines. Il conserva le crâne comme trophée ( !!! ) et Lindsey fut identifié grâce à sa dentition.

    14ème victime : Tony Hughes avait un an de plus que Dahmer. Il était noir, sourd et muet. Ils se rencontrèrent dans un bar et communiquèrent en écrivant sur des papiers. Comme à son habitude, Dahmer lui proposa de l'argent pour des photos. Tony Hugues fut drogué, étranglé et son corps resta allongé sur le sol de la chambre à coucher pendant trois jours. Ensuite, il le démembra et le mit dans de l'acide. Son identité fut établie grâce à son crâne et à sa dentition.

    15ème victime : Le 26 mai 1991, Dahmer rencontra Konerack Sinthasomphone, un jeune Laotien de 14 ans. Il était le frère de Keison Sinthasomphone, que Dahmer avait agressé en 1988 ( !!!! )
    Il lui offrit de l'argent en échange de photos. Konerak accepta, le suivit chez lui, et posa pour deux photos, en caleçon, avant d'être drogué. Dahmer le viola, puis alors qu'il était encore vivant, perça un trou à l'arrière de son crâne avec une foreuse, pour y injecter de l'acide chlorhydrique ( !!!! ) Dahmer expliqua par la suite qu'il avait fait une "expérience" : il voulait de cette manière créer un "zombie" pour contrôler complètement sa victime. Dahmer alla ensuite boire une bière dans sa cuisine. Extraordinairement, Konerak se réveilla et parvint à se relever. Il sortit de l'appartement de Dahmer et marcha dans la rue. Le jeune adolescent fut aperçu, nu, hagard, zigzaguant, par des voisins qui avertirent la police. Lorsque les officiers arrivèrent, Dahmer ramenait le garçon chez lui. Les policiers questionnèrent Dahmer, qui répondit calmement que Konerak était son amant, et qu'il était majeur ! Pourtant, des voisins affirmèrent aux policiers que Konerak n'était qu'un adolescent. Mais, comme le jeune laotien ne parlait pas bien anglais, les policier le laissèrent avec Dahmer et partirent ( !!! ) Pour eux, il n'était qu'un "PD bourré. Dahmer ramena le garçon chez lui et l'étrangla immédiatement. Il le démembra et plaça son corps dans de l'acide. Konerak fut déclaré "disparu" le 27 mai 1991, on retrouva son crâne dans l'appartement de Dahmer.

    16ème victime : Un mois plus tard, Dahmer tua à nouveau, le 30 juin 1991, il alla à la parade de la Gay Pride de Chicago et rencontra un jeune homme noir, Matt Turner. Lui aussi voulait être mannequin. Dahmer l'invita à Milwaukee. Il lui paya le voyage en bus, puis le trajet jusqu'à son appartement. Là, Dahmer étrangla Matt Turner. Sa tête et ses organes internes furent découverts dans le frigo, et son torse dans la cuve d'acide de la chambre à coucher ( !!! )

    17ème victime : Une semaine plus tard, le 5 juillet 1991, encore à Chicago, Dahmer rencontra Jeremiah Weinberger, un jeune portoricain. Dahmer paya de nouveau le voyage vers Milwaukee en bus et le taxi jusqu'à son appartement. Ils eurent une relation sexuelle puis s'endormirent. La disparition de Weinberger fut déclarée le lendemain, mais il était encore en vie, chez Dahmer. Jeremiah avait voulu repartir à Chicago, Dahmer lui avait offert un verre. Dès que le jeune homme s'était endormi, Dahmer lui avait injecté de l'eau bouillante dans le cerveau après avoir percé son crâne ( !!! ) Jeremiah survecu, dans un état comateux, durant deux jours. Puis Dahmer décida de l'étrangler. La tête de Weinberger fut trouvée dans le frigo et son torse dans la cuve d'acide, avec celui de Turner.

    18ème victime : Le 15 juillet 1991, il rencontra un jeune homme noir, Oliver Lacy. Lacy suivit Dahmer chez lui. Ils eurent des relations sexuelles, puis Dahmer le drogua et l'étrangla. Il prit plusieurs photographies de sa victime avant et après l'avoir décapitée. Pendant qu'il le démembrait, Dahmer eut des rapports sexuels avec le cadavre. Il conserva son cœur dans son frigo et sa tête dans son réfrigérateur.

    19ème victime : Le 19 juillet 1991, Dahmer rencontra Joseph Bradehoft. Ils eurent des relations sexuelles, puis Bradehoft fut drogué et étranglé. Dahmer le laissa sur son lit, couvert par les draps, durant deux jours, et dormit avec le cadavre. Puis, il le nettoya et le démembra. Quand Dahmer fut arrêté, trois jours plus tard, la tête de Bradehoft était dans le frigo, et son torse flottait dans la cuve d'acide, avec ceux de Turner et Wienberger ( !!! )

    Il tuait de plus en plus souvent et ne se contrôlait presque plus

    20ème victime : Le 22 juillet, Dahmer rencontra Tracy Edwards. Il l'amena dans son appartement et lui offrit un verre. Dahmer lui fit des avances sexuelles. Tracy commença à lutter quand Dahmer referma des menottes sur son poignet droit. Quand Dahmer alla chercher un couteau, Tracy se précipita comme il le pouvait vers la porte, qui n'était pas fermée à clé. Dahmer essaya de le ramener à l'intérieur. Ils commencèrent à se battre. Dahmer reçu un coup sur la tête qui le projeta à terre. Tracy courut dans le couloir et sortit de l'immeuble.

    Les officiers de police Muller et Rauth faisaient leur patrouille et virent Tracy Edwards qui hurla. Terrifié, il expliqua aux policiers qu'un homme avait essayé de le tuer. Les policiers tentèrent d'enlever les menottes du poignet d'Edwards mais leurs clés n'étaient pas les bonnes. Aussi, Mueller et Rauth escortèrent Edwards jusqu'à l'appartement de Dahmer, au 213. La porte fut ouverte par Dahmer, blanc et blond. L'intérieur de l'appartement était propre et ordonné. Dahmer reconnu que les menottes étaient bien à lui et désigna sa chambre à coucher, expliquant que les clés devaient être sur la commode. A ce moment-là, les policiers pensaient encore être en présence d'une querelle d'homosexuels qui avait failli mal tourner, rien de plus...

    Mais, dans la chambre de Dahmer, les officiers de police trouvèrent un couteau de boucher présentant des traces de sang, ainsi que 74 Polaroïds montrant des hommes "dans des activités homosexuelles". Certaines de ces photos présentaient des hommes morts. Sur plusieurs d'entre elles, les corps étaient démembrés et mutilés.
    L'officier Mueller réalisa que les photographies avaient été prises dans la chambre. Dahmer, toujours calme, dit : "Je viens de perdre mon boulot, vous savez. Je voudrais bien boire une putain de bière". L'un des policiers ouvrit alors le réfrigérateur... et se mit à hurler. Il y avait une tête coupée à l'intérieur. Dahmer tenta de s'enfuir mais les deux policiers le plaquèrent au sol et lui passèrent des menottes.

    Leurs collègues continuèrent à fouiller l'appartement, et firent d'horribles découvertes :Une boîte de bicarbonate de soude dans le réfrigérateur absorbait difficilement l'odeur de décomposition de la tête coupée. Dans le frigo, il y avait trois autres têtes, côte à côte dans des sacs plastiques fermés, ainsi qu'un cœur, une marmite métallique qui contenait des mains et des pénis décomposés( !!! ), sur l'étagère, il y avait deux crânes, des bocaux contenant des organes génitaux préservés, une penderie contenait un squelette complet, des scalps humains détachés, et des organes génitaux. Dans une boîte, il y avait deux autres crânes. Dans une cuve de 260 litres d'acide, la police trouva trois torses humains dans différents états de décomposition. ( !!!)

    Certains des Polaroids avaient été pris par Dahmer alors qu'il démembrait ses victimes. "L'un représentait la tête d'un homme dans un évier. Un autre montrait une victime incisée du cou à l'aine, comme un cerf étripé après la chasse, avec une coupure si nette qu'on pouvait voir l'os pelvien".
    Certaines de ses photos montraient ses victimes avant qu'il ne les tue, dans diverses poses érotiques ou lors de scéances de "bondage".

    Ses derniers jours
    Dahmer fut condamné 15 fois à la prison à vie ou un total de 957 années de prison. ( !!!!)

    La matin du 28 novembre 1994, Dahmer lavait le sol des douches avec deux prisonniers très dangereux : Jesse Anderson, un homme blanc qui avait tué sa femme et accusait un homme noir de l'avoir fait, et Christopher Scarver, un noir schizophrène qui pensait qu'il était le fils de Dieu, et qui était en prison pour meurtre (lui aurait dû être dans un asile, par contre...). Il n'est pas difficile d'imaginer comment Scarver voyait Dahmer, qui avait tué tant d'hommes noirs, et Anderson, qui accusait un noir de son crime. Une combinaison désastreuse. Vingt minutes après qu'ils aient commencé à laver, un gardien revint pour voir si tout allait bien. Il trouva Dahmer face contre terre, dans une mare de sang, le crâne fracassé. Anderson était couché dans une douche, en sang lui-aussi. Scarver leur avait frappé la tête contre le sol et les murs des douches. Dahmer décéda durant le transport à l'hôpital. Jesse Anderson mourut peu après. Scarver déclara : "Dieu m'a dit de le faire !" Il fut condamné pour la deuxième fois à la prison à vie pour ces deux meurtres...

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  • Le cannibale japonais ISSEI SAGAWA

    Le cannibale japonais     ISSEI    SAGAWA
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>arienae a écrit : "C'était un jeune japonais, étudiant à la Sorbonne, spécialiste de Shakespeare et de Kawabata. En juin 1981, il invita une amie Hollandaise âgée de vingt-cinq ans dans son studio parisien, et la pria de lui lire à haute voix un des plus beaux poèmes de l'expressionnisme allemand, Abend de Johannes Becher. Après la lecture, il l'abattit d'un coup de fusil, la dépeça et pendant trois jours goûta aux différentes parties de son anatomie.

    Il découpa les restes du cadavre et tenta de s'en débarrasser dans le lac du bois de Boulogne. A la suite de quoi, il fut rapidement arrêté, puis incarcéré à la prison de la Santé où son père, un riche industriel, lui apporta Crimes et Châtiments de Dostoïevski. Suivant l'avis de trois experts psychiatres, le juge Bruguière prononça le 30 mars 1983 une ordonnance de non-lieu. Le cas Sagawa ne relevant pas, pour les Français, de la justice, mais de la psychiatrie.

    Au Japon, en revanche, où il retourna en toute légalité, les psychiatres le trouvèrent "normal", et il fut rapidement relaché, notamment grâce aux relations de sa famille. "Quant à ses compatriotes, écrit Patrick Duval, ils l'accueillent comme une sorte de champion de l'horreur, un phénomène digne du livre des records". Auréolé de cette gloire inattendue, Sagawa a commenté pour la presse les faits divers les plus macabres, a tourné dans des films porno, a fait de la publicité pour des restaurants de viande, a peint et écrit des livres aux titres évocateurs : "J'aimerais être mangé", "Excusez-moi d'être en vie" ou "Ceux que j'ai envie de tuer".

    Il déclara récemment à la télévision allemande: "L'esprit japonais est très différent du reste du monde. Les Japonais oublient au fur et à mesure que la société change. Les Européens, eux, n'oublient jamais. Alors qu'au Japon, je suis devenu un clown, ici en Europe, je reste un cannibale. D'un côté, dit-il encore, je regrette d'avoir tué Renée, mais de l'autre, j'avais raison: C'était vraiment bon."

    Il se pourrait, parce que les meurtres sont si rares au Japon, que le public ait le luxe d'accorder à ses plus terribles meurtriers un statut de quasi-célébrités.

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  • PETER KÜRTEN – LE VAMPIRE DE DÜSSELDORF

    PETER KÜRTEN – LE VAMPIRE DE DÜSSELDORF
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    Je n'ai pas de remords. Quand à savoir si le souvenir de mes actes me fait honte, je vais vous dire: repenser à tous les détails n'est pas du tout déplaisant. J'aime plutôt ça!

    J'éprouvais du plaisir devant le rougeoiement du feu, les appels à l'aide. Ca me procurait tellement de plaisir que j'en tirais une satisfaction sexuelle.

    PETER KÜRTEN




    Peter Kürten était un homme poli, à la voix douce. Il était soigné de sa personne, pour ne pas dire maniaque quant à son apparence et sa façon de s'habiller. Il trouvait du plaisir à torturer frénétiquement, jusqu'à la mort on le surnomma le «Roi des Pervers Sexuels» mais surtout le«Vampire de Düsseldorf». Kürten est un assassin dément qui a avoué avoir tué près de 80 personnes. Il choisissait ses victimes au hasard, sans distinction d'âge ni de sexe. C'est l'un des plus célèbres des Serial Killers en Allemagne. La plupart de ses meurtres à caractère sexuel furent commis à Düsseldorf en 1929.

    Il aimait aussi provoquer des incendies, dans des maisons, des granges, il éprouvait un grand plaisir et une satisfaction sexuelle à l'idée de savoir que quelqu'un était à l'intérieur!

    Contrairement aux autres tueurs en série, la méthode de Kürten était très diversifiée. Il tuait au couteau, marteau, ciseaux, strangulation, en mettant le feu... La police croyait qu'il y avait plusieurs tueurs dans l'histoire.

    Dès son jeune âge, Kürten avait fait preuve d'un appétit sexuel hors du commun, il se livrait à des actes contre-nature avec divers animaux de ferme. Il découvrit à ce moment là que torturer et poignarder ces créatures décuplait son plaisir sexuel.

    A l'âge de 9 ans déjà, il avait noyé deux de ses camarades alors qu'ils jouaient à bord d'un radeau sur le Rhin!

    BIOGRAPHIE

    Kürten est né le 26 mai 1883 à Cologne. Son père, fondeur de profession, était un ivrogne violent. Il battait et violentait sexuellement se femme et ses treize enfants. Il purgea plusieurs peines de prison pour ses actes.
    La famille s'installa à Düsseldorf en 1895. Suivant les déclarations qu'il fit plus tard aux psychiatres, Kürten était déjà devenu un assassin à cette époque-là. En effet, à l'age de 9 ans, il avait noyé deux de ses camarades alors qu'ils jouaient à bord d'un radeau sur le Rhin.
    Kürten décida de s'enfuir de chez lui et se mit à voler pour subvenir à ses besoins.

    A 14 ans, Peter fut jeté en prison pour vol, il n'en sorti pas avant 1899. Cette même année il étrangla une jeune femme au cours d'un rapport sexuel. Il la laissa pour morte dans un bois. Aucun cadavre n'ayant jamais été découvert, elle survécut probablement.

    En 1900, Kürten retourna en prison pour cinq ans. C'était un prisonnier brutal, qui refusait continuellement de travailler et qui enfreignait volontairement le règlement de la prison pour se faire mettre en isolement cellulaire.

    Relâché en 1904, Kürten poursuivit sa carrière criminelle en ajoutant l'incendie volontaire au vol. Il mettait le feu aux greniers à foin et aux granges, exultant à la vue de flammes et à l'idée qu'un clochard dormait peut-être dans la paille. Puis il fut appelé sous les drapeaux, mais, la stricte discipline militaire n'étant pas à son goût, il déserta et fut renvoyé en prison.

    A sa libération en 1913, Kürten se remit à vivre de larcins. Le 25 mai 1913, au cours d'un cambriolage, il violenta et étrangla Christine Klein, une fillette de 13 ans, qu'il l'avait découverte endormie dans son lit.

    A deux reprises, en 1913, Kürten attaqua des inconnus en pleine rue, les abattant d'un coup de hache. Il éprouvait un plaisir sexuel à la vue de leur sang. Avant qu'il ne puisse tuer à nouveau, cependant on l'arrêta pour cambriolage et il passa les années de la Première Guerre mondiale en prison.

    A sa sortie de prison, en 1921, Kürten s'installa chez sa sœur à Altenbourg. Il rencontra sa future femme dans cette petite ville. Il se faisait alors passer pour un prisonnier de guerre récemment libéré par les Russes. Il fit sa cour en alternant marques d'affection et menaces ouvertes de violence.
    Ancienne prostituée, elle avait elle-même passé quatre ans en prison pour avoir tiré sur un homme qui l'avait abandonné après lui avoir promis de l'épouser. Elle croyait devoir endurer tout ce que le destin lui réservait pour se racheter de son passé inavouable.
    Elle accepta la proposition de mariage de Kürten, comme par la suite elle accepta ses infidélités et ses actes criminels, sans jamais se plaindre. De son côté, il ne la maltraita jamais.

    Plus tard, il affirma qu'il lui était impossible de faire l'amour avec sa femme s'il n'imaginait pas en même temps une rencontre violent avec quelqu'un d'autre.

    Les jeunes mariés vécurent à Altenbourg jusqu'en 1925. Kürten fit des efforts pour s'amender. Il travailla comme fondeur, devint syndicaliste et militant politique. Il continuait à rôder de temps en temps, en quête de relations sexuelles brutales avec des femmes. Quand, à l'occasion, il allait trop loin, sa femme intervenait pour lui éviter d'être accusé de violences sexuelles.

    Altenbourg était une trop petite ville pour les désirs délirants de cet homme et les Kürten partirent pour Düsseldorf en 1925.

    Entre 1925 et 1928, Kürten commit 4 ou 5 agressions contre des femmes, en les étranglant jusqu'à ce qu'elles s'évanouissent. Il recommença à allumer des incendies.

    Puis Kürten se lança pour de bon dans une campagne de terreur.

    Tard dans la nuit du 03/02/1929, il se jeta sur une femme qui rentrait chez elle à pied et la frappa 24 fois avec une paire de ciseaux.

    Le 13, il poignarda à 20 reprises un ouvrier de 45 ans, le 9 mars il se libre à des violences sexuelles sur une enfant de 8 ans, puis l'étrangla. Il s'en prit ensuite au cadavre de l'enfant à coups de couteau.

    Ensuite Kürten changea de méthode d'attaque, il étrangla 4 femmes sans les tuer, avant de revenir à sa technique meurtrière en août, il tua 2 enfants et une jeune fille. Fin septembre, il commença à utiliser un marteau en guise d'arme. Il tua 2 femmes et en blessa 2 autres.

    Sa dernière victime fut une enfant de 5 ans qui disparut le 7 novembre.

    Kürten cessa de tuer, mais il poursuivit ses agressions, étranglant à demi ou assommant à coups de matraque plus de 10 femmes pendant les 5 premiers mois de l'année 1930.

    ARRESTATION

    Une femme qu'il avait attaquée mais qui n'avait pas signalé l'incident à la police, le reconnut dans l'escalier de son immeuble, Kürten l'a reconnut également. Sachant qu'il allait certainement être arrêté pour viol, voire pour meurtre, Kürten avoua tout à sa femme, afin qu'elle puisse le dénoncer et empocher l'argent de la récompense. Elle ne le crut pas d'abord mais le récit de ses crimes fut tellement détaillé qu'elle finit par le croire et le dénonça à la police. Kürten fut arrêté le 24/05/1930. Il passa des aveux complets, tellement complets qu'ils comportaient de nombreux crimes dont la police ne savait rien

    Son procès débuta le 13 avril 1931, et dura 10 jours. Son avocat plaida la démence, et une grande partie du procès fut consacrée à la déposition des experts psychiatres. Le jury délibéra pendant 90 min et reconnut Kürten coupable de neuf assassinats. Il fut condamné à mort. L'exécution fut fixée au 02/07/1930 à 6h du matin.

    Kürten accepta son destin avec sérénité. Pour son dernier repas, il commanda une escalope viennoise, des pommes de terre sautées et du vin blanc!


    ETAT MENTAL

    D'après les psychiatres Peter Kürten était un psychopathe à tendance narcissique qui faisait passer l'assouvissement de ses désirs avant toute autre considération. N'exprimant aucun remords pour ses crimes! Il revivait sans cesse ses crimes en pensée et étonna la police et les psychiatres par son excellente mémoire.

    Kürten tenta de justifier ses meurtres en disant à la police qu'il était un ange vengeur venu pour débarrasser le monde de l'injustice. Mais la plupart du temps il se montra assez honnête quand à ses motivations sexuelles de ses agressions. Il expliquait que la simple vue du sang ou de la détresse physique ou affective d'autrui pouvait l'amener à l'orgasme.

    Sa famille du coté paternel, comptait quelques alcooliques et des faibles d'esprit. Un climat de violence associé à la sexualité était omniprésent dans la maison familiale. Kürten pensait que la méchanceté de son père était en grande partie responsable de ses propres crimes!

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  • GERARD SCHAEFER - L'INCARNATION DU MAL

    GERARD SCHAEFER - L'INCARNATION DU MAL
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    Gerard Schaefer, ancien shérif adjoint en Floride, est un tueur nécrophile qui a assassiné 34 jeunes femmes au début des années 1970.

    Son mode opératoire:

    Schaefer utilisait sa fonction d'adjoint avec sa voiture de service pour prendre des jeunes auto-stoppeuses afin de les mettre en garde sur le danger de l'auto-stop. Il les raccompagnait chez elles et ils s'échangeaient les numéros de téléphone! Schaefer les recontactait pour leur proposer de les accompagner aux endroits qu'elles souhaitaient. Il les emmenait dans un bois, les ligotaient avec des cordes et les pendait à des branches d'arbre de façon à ce que leurs doigts de pied touchent à peine le sol pour qu'elles puissent après quelques heures se pendre elles-mêmes, mais Schaefer les détachait juste à temps qu'elles aient péri!
    Il les obligeait à boire de l'alcool pour par la suite les photographier pendant qu'elles urinaient et déféquaient, c'était l'un de ses fantasmes! Ensuite il les pendait à nouveau et les terminaient par la strangulation qui d'ailleurs était véritablement une vraie obsession chez lui.
    Pour finir, il violait les corps, il finissait par les démembrer et se masturbait au dessus des restes!

    La fin du cauchemar:

    Un jour, alors que Schaefer torturait deux jeunes filles dans une forêt, sa radio de service l'appela. Il partit en mission en pensant revenir après pour "finir ce qu'il avait à faire". Pendant ce temps, les deux jeunes filles réussirent à se libérer de leurs liens et alertèrent les secours.

    Une fouille à son domicile a permis de retrouver chez lui des papiers d'identité ayant appartenu à une trentaine de filles qui avaient disparues et dont on n'a jamais retrouvé les corps! Ainsi que des cheveux, des dents, des écrits (écrits ou Schaefer exprime ses fantasmes nécrologiques, nécrophiliques, de strangulation, etc... qui ont d'ailleurs étés publiés «Journal d'un Tueur»).

    Il n'a finalement été condamné que pour les seuls meurtres de Susan Place (17 ans) et de Georgia Jessup (16 ans) à la prison à perpétuité (prison d'État de Floride à Starke).
    Le 3 décembre 1995 il fut retrouvé mort dans sa cellule, poignardé de 40 coups de couteau à la tête et à la nuque par un co-détenu, pour une banale dispute à propos d'une tasse de café...


    Le profileur français M. Stéphane Bourgoin a rencontré ce tueur en série, voici ses impressions:

    «Lorsque je me suis retrouvé face à lui, j'ai vu quelqu'un de charmant, souriant, qui niait avoir commis ces crimes, mais en même temps, j'ai presque eu l'impression de me retrouver dans un roman de Stephen King et d'être confronté au «le Mal» avec un M majuscule. Mon cameraman a eu la même sensation: chair de poule, nuque bloquée, colonne vertébrale crispée pendant toutes les heures d'entretien et je ressens toujours ce malaise aujourd'hui quand je regarde les enregistrements».

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  • PETER WILLIAM SUTCLIFFE

    PETER WILLIAM SUTCLIFFE
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Peter William Sutcliffe, né le 2 juin 1946 à Bingley près de Bradford, surnommé l'éventreur du Yorkshire (Yorkshire Ripper), il a sauvagement assassiné 13 femmes et a agressé sept autres dans le nord de l'Angleterre entre 1975 et 1980, mettant tout le pays en état de choc. Durant près de six ans, il a fait régner la terreur, tenant en échec la plus importante armée policière jamais levée contre un seul homme.

    Les victimes étaient toutes tuées de la même façon, Sutcliffe leur donnait des coups de marteau sur la tête et les achevait à coups de couteau.
    Il tuait essentiellement des jeunes prostitués, c'est pourquoi PETER SUTCLIFFE fut surnommé «L'éventreur du Yorkshire», faisant allusion au célèbre tueur en série «Jack L'éventreur». Sur les 13 victimes, 5 n'étaient pas des prostitués, 4 d'entre elles étaient des jeunes étudiantes (une de 16 ans, une de 19 ans, 2 de 20) et une fonctionnaire de 47 ans.

    Il fut arrété en janvier 1981, la confession de Sutcliffe à la police dura 17 heures. Quand on lui demanda pourquoi il avait fait cela, il répondit qu'il avait commencé à tuer en 1969 parce qu'une prostituée lui avait escroqué dix livres. (A cette époque il vivait une crise de jalousie, sa femme l'avait trompé et peu de temps après il surprit sa mère tromper son père), il avait besoin de la compagnie d'une prostituée. L'expérience fut catastrophique. Il n'eut pas de rapport sexuel avec la fille mais celle-ci le roula. «Je me sentais offensé, humilié et embarrassé. Une haine m'envahit pour les filles de son espèce».


    ARRESTATION

    Janvier 1981, la police faisait leur ronde de nuit, ils virent Olivia Reivers monter dans une Rover V8 3500. Ils décidèrent d'intervenir, le chauffeur, trapu et barbu, déclara se nommer Peter Williams et être propriétaire de la voiture. Il descendit précipitamment et demanda à satisfaire un besoin naturel pressant. Il s'éloigna dans l'obscurité et sorti de son manteau un marteau à pannes rondes et un couteau et les cacha dans les buissons, il revient ensuite vers sa voiture. Les policiers s'étaient aperçus que les plaques d'immatriculation étaient fausses et maquillées. Ils l'embarquèrent au poste de police d'Hammerton Road pour l'interroger. La police avait comme indice, une trace de chaussure laissée sur le corps d'une des victimes, pointure 41 et un groupe sanguin du type B. Le chef de la police décida d'aller sur le lieu de l'arrestation où il prit quelques minutes pour retrouver le marteau et le couteau que Sutcliffe avait caché dans les buissons, il s'aperçut également que l'homme était du groupe B. Il retourna interroger Sutcliffe toute la matinée du dimanche sur divers sujet sans aborder les meurtres de l'éventreur. Au début de l'après-midi, il lui parla du marteau et du couteau trouvé à Sheffield (lieu de son arrestation). Peter demeura silencieux. Le chef de la police le poussa: «je crois que vous allez avoir des ennuis, de sérieux ennuis». Peter répondit: «je crois que vous avez trouvé l'éventreur du Yorkshire».

    SON ENFANCE

    Sutcliffe à sa naissance ne pesait que 2,2 kg, il était un enfant timide et un adolescent renfermé, Il était considéré comme quelqu'un de bizarre – mais même son regard noir et inquiétant ne pouvait laisser deviner à quel point il était étrange.
    Il était un enfant chétif toujours attaché à sa mère. A 15 ans il était encore excessivement attaché à sa famille et plus particulièrement à sa mère. Il passait des heures dans la salle de bain pour se pommader sans pour autant montrer un quelconque intérêt pour les filles. Il lui arrivait également de s'enfermer trois ou quatre heures dans les toilettes.
    Quand il s'asseyait, il se tenait raide, ne bougeant que les yeux quand on lui parlait comme s'il avait le torticolis alors qu'il n'en était rien.
    Aux yeux de sa famille, Peter était doué et assez beau, mais les filles n'étaient pas attirées par lui.
    Un soir il rencontra Sonia dans un pub, elle était calme, réservée et introvertie tout comme Peter, après 8 ans de fiançailles ils décidèrent de se marier.
    Peter travaillait comme fossoyeur au cimetière de Bingley.

    L'ANALYSE DE SON ECRITURE

    L'écriture de Sutcliffe révèle une personnalité perturbée avec une tendance à la schizophrénie. Le sujet n'arrive pas à distinguer le bien du mal, ni à communiquer avec autrui. Il se sent traqué. Il lui est indispensable d'attirer l'attention. En outre, il présente un complexe de culpabilité évident.

    TUEUR HABILE OU SCHIZOPHRENIE PARANOIDE?

    L'avocat de la défense, soutient la thèse de la schizophrénie paranoïde. Il se basait sur les diagnostics de trois éminents experts psychiatres ayant examiné Sutcliffe. Le point révélateur, selon eux, était que l'accusé disait suivre, depuis l'âge de 20 ans, les instructions de Dieu. C'était en creusant une tombe, au cimetière de Bingley, qu'il avait entendu pour la première fois la voix de Dieu, sortant d'une tombe. Il lui avait été dit que sa mission sur terre était de nettoyer les rues des prostituées qui les souillaient. Dieu l'avait d'ailleurs longtemps aidé à échapper aux recherches de la police. Il reconnut qu'il était sur le point d'accomplir son œuvre divine sur Olivia Reivers, quand il avait été pris.

    Pour l'accusation Sutcliffe était un tueur habile et sans pitié, qui avait délibérément inventé cette histoire abracadabrante pour éviter d'être condamné. Un gardien de prison avait entendu Peter dire à sa femme qu'il espérait tromper les médecins sur son état de santé mentale. Il avait ajouté que s'il arrivait à convaincre les gens qu'il était malade il ne ferait que dix ans dans une «maison de fous».
    L'accusation ajoutait qu'il y avait des preuves de sadisme sexuel pour au moins six des agressions.

    Sur un point, les psychiatres étaient en accord avec l'accusation: tous trois déclarèrent que si l'explication par la schizophrénie était fausse, il fallait tenir Sutcliffe pour un sadique prenant plaisir à tuer les femmes, un assassin agissant de sang-froid.

    Peter fut déclaré coupable, le 22 mai, de treize meurtres et de sept agressions. Le juge prononça une sentence de prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 30 ans. Il fut incarcéré au quartier de sécurité de la prison de Parkhurst, dans l'île de Wight.
    En janvier 1983, Peter est agressé par un autre détenu, on lui fit 84 point de suture. Dix mois après son visage porte encore de graves traces.
    En mars 1984, il est transféré au pavillon 1 de l'hôpital psychiatrique de Broadmoor dans le Berkshire. Son état mental s'est détérioré au point qu'il est souvent totalement incohérent.


    Paroles de Sutcliffe:

    1er meurtre: «J'ai pensé 'Mon Dieu! Qu'est-ce que j'ai fait?'... Je me suis vu dans de sales draps. Je me suis dit que ma seule chance, c'était qu'elle ne puisse plus jamais parler.

    «Je ressentais l'obligation intime de tuer une prostituée... Je savais que je ne désirais pas avoir de relation sexuelle avec elle, je voulais juste m'en débarrasser».

    «Les deux premières années furent les meilleures. Rien n'indiquait encore pourquoi j'avais été choisi».

    «Je lui ai dit que j'étais désolé. C'était la première fois que je m'excusais auprès de quelqu'un que j'avais tué». (A propos de la jeune étudiante de 16 ans)

    «Mon désir de tuer des prostituées devenait de plus en plus fort; il me dominait entièrement!»

    «Avant de le faire, je passais par des moments terribles. C'était vraiment une torture!»


    «Je me les rappelle toutes et je me dis que je suis une brute. Penser à elles me fait sentir quel monstre je suis».

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  • Orignine du therme "Serial Killer"

    Orignine du therme "Serial Killer"
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    L'expression Serial Killer (tueur en série) a été utilisée pour la première fois dans les années 1970 par ROBERT RESSLER, agent du F.B.I. et profiler, pour décrire un comportement criminel épisodique. Les personnages, les évènements et les décors des meurtres en série présentent toujours des similitudes. Dans le cas de GACY, par exemple, les victimes étaient uniquement des adolescents ou des jeunes hommes et étaient tuées de la même manière et au même endroit, c'est-à-dire à son domicile.

    Les tueurs en série sont fréquemment poussés par leurs pulsions sexuelles, et ils ressentent un besoin irrépressible de tuer. L'assassinat devient pour eux une sorte de «mauvaise habitude».

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  • RICHARD TRENTON CHASE - LE VAMPIRE DE SACRAMENTO

      http://meurtrierspsychopathes.skyrock.com

    attention image violente...........

    RICHARD TRENTON CHASE - LE VAMPIRE DE SACRAMENTO
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Chase était un tueur désorganisé, il tuait par impulsivité et était atteint de maladie mentale, c'était un paranoïaque et confessait entendre des voix qui lui ordonnait de tuer.

    Chase aimait boire le sang de ses victimes, il croyait que son sang se desséchait, il lui fallait donc du sang frais pour régénérer le sien. Il était aussi persuadé que ces organes se déplaçaient à l'intérieur de son corps et que son coeur rétrécissait à cause du manque de sang.

    Son premier meurtre fut celui de Terry Wallin, enceinte de 3 mois, le 23 janvier 1978.
    La victime avait eu le ventre ouvert du nombril au sternum, des intestins et plusieurs organes manquaient, des excréments avaient été enfoncés dans la bouche de Terry et un pot de yaghourt était maculé de sang, le tueur en avait bu.
    4 jours plus tard, il tue Evelyn Miroth, 36 ans, d'un coup de fusil, puis son ami qui se trouvait présent, ainsi que Jason, 6 ans, fils de Evelyn. Richard s'approche du berceau où dormait le neveu de la victime et il le tua d'une balle dans la tête. Ensuite Richard éventre Evelyn dans la chambre de la malheureuse, il avait découpé les organes génitaux, lacéré son visage et la partie anal (après l'avoir sodomisé), des matières fécale flottaient dans la baignoire ainsi que des bouts de cervelle du petit David (que Chase avait décapité et dévoré le cerveau).


    SON ENFANCE

    Chase est né en 1950 dans une famille à revenus moyens. Il était timide et doux, il urina jusqu'à 8 ans dans son lit, c'était un élève moyen, c'était un solitaire, il n'avait pas d'amis et avait quelques liaisons qui ne duraient pas, il ne parvenait pas à tenir une érection...
    Ses parents se disputaient sans cesse et finirent par divorcer. Le père se remaria, mais la mère souffrait de psychose paranoïde et était persuadé que son mari voulait l'empoisonner. Son fils vivait à ses crochets et elle obtint sa garde après sa sortie d'asile.
    Chase achetait des lapins et les éviscérait pour pouvoir mélanger les organes avec le sang et tout boire. C'est en 1976 où il tenta de s'injecter du sang de lapin qu'on le plaça en asile. Les infirmières en avaient peur (deux démissionnèrent), on le trouvait effrayant et le personnel le surnomma Dracula. Il aimait déchiqueter les oiseaux à coups de dents et on le retrouva plusieurs fois avec les vêtements maculés de sang. Chase croyait qu'on voulait l'empoisonner, comme sa mère, et que son propre sang se desséchait, il lui fallait donc boire du sang pour remédier a cela!!!

    ARRESTATION

    Après avoir commis six meurtres, ce sériai killer «désorganisé» fut capturé en 1978, grâce à un travail de profilage mené par Robert Ressler. Quand la police s'est rendu chez Chase, c'était l'horreur, des ossements partout, 3 mixeurs contenant du sang, le plancher couverts de matière fécale, une assiette sur son lit avec des morceaux de cervelles dans du sang ... En 1979 il fut tout de même jugé sain d'esprit et enfermé à perpétuité presque un an après, on le retrouva mort dans sa cellule, il s'était suicidé via une overdose d'antidépresseurs qu'il avait conservé puis avalé d'un coup.


    COMMENT PROCEDAIT-IL?

    Robert Chase cherchait une maison avec une porte ouverte. Lorsque la porte était verrouillée, il n'insistait pas. Devant la surprise des agents du FBI qui pensaient qu'il aurait pu forcer une des portes sans la moindre difficulté, il répondit avec un grand calme: «Quand une porte est fermé à clef, ça veut dire qu'on n'est pas le bienvenu. Ca, tout vampire qui se respecte le sait bien depuis la publication du Dracula de Bram Stoker: il ne peut entrer dans une maison sans y avoir été au préalable invité» ...

    FILMS INSPIRES PAS RICHARD CHASE

    "Le Sang du Chatiment" de William Friedkin
    "Les Racines du mal" de Maurice G. Dantec

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  • DAVID FALCO BERKOWITZ - LE FILS DE SAM

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    DAVID FALCO BERKOWITZ - LE FILS DE SAM
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>David Falco Berkowitz est un tueur en série, solitaire et pyromane, qui a sévi à New York pendant les années 1970. Il a tué six personnes et blessé plusieurs autres.

    Il prétendait avoir été tourmenté par des voix «démoniaques» l'enjoignant de tuer. Il devait satisfaire la soif du démon, il devait tuer pour calmer son hystérie et pour ne plus entendre ces voix démoniaques!
    Son surnom de «Fils de Sam» lui est attribué lorsqu'on découvre une lettre, sur les lieux du crime, où il déclare être le fils de Sam. Le nom de Sam était lié à son voisin, qui d'après lui, lui intimait l'ordre de tuer! De plus, on raconte que par la pensée, le chien du voisin aurait été possédé et l'aurait incité à tuer. Il a avoué que pendant sa jeunesse il adorait torturer les animaux et les tuer, qu'il avait fait partie d'un culte satanique lié à Charles Manson (qui professait la nécessité des sacrifices humains) et au néonazi Fred Cowan. D'après une liste retrouvée chez lui, David Berkowitz aurait provoqué 1488 incendie à N-Y!

    Il est arrêté par la police le 10 août 1977 suite au témoignage d'une personne qui l'a vu, non loin du lieu d'une de ses agressions, le 30 juillet 1977 retirer une contravention de sa voiture et s'en aller.
    Jugé comme sain d'esprit, il est condamné à six peines de prison à vie (365 ans) pour meurtres le 12 juin 1978 dans le centre correctionnel d'Attica.


    TRADUCTION DE LA LETTRE SUR LA PHOTO

    «JE TE DIS AU REVOIR ET BONNE NUIT.
    POLICE: QUE CES MOTS TE HANTENT: JE REVIENDRAIS! JE REVIENDRAIS!
    CECI EST A INTERPRETER COMME BANG, BANG, BANG, BANK, BANG – UGH!
    BIEN A VOUS DANS LE MEURTRE
    M. MONSTRE»
    (Ceci était sa première lettre dans les lieux du crime)

    Une de ses lettres adressées à la presse:

    «SAM EST ASSOIFFE. IL NE ME LAISSERA PAS M'ARRETER DE TUER TANT QU'IL N'AURA PAS EU SON CONTENT DE SANG».

    BIOGRAPHIE

    David était un enfant illégitime, abandonné et adopté, il fut un garçon timide, gâté et solitaire. Le ressentiment qu'il éprouvait au fond de lui-même ne fit surface (avec des conséquences horribles) qu'après les retrouvailles avec sa mère naturelle.

    Betty Broder (mère biologique de David) lorsqu'elle annonça a son mari, Joseph Kleinman, qu'elle était enceinte, celui-ci lui demanda de se débarrasser de l'enfant si elle voulait continuer à le voir.

    David fut adopté par un couple juif, Nathan et Pearl Berkowitz. Lorsque Pearl mourut d'un cancer, David (14 ans) fut profondément affecté. Nathan Berkowitz se remaria, David ne s'entend pas avec sa belle-mère ni la fille de celle-ci. Il décida de partir faire son service militaire, a son retour il préfère s'installer dans son propre appartement, la solitude l'amena alors à rechercher ses véritables parents. A l'aide d'un vieil annuaire téléphonique il parvint à retrouver sa mère et sa sœur Roslyn. Les retrouvailles furent chargées d'émotions. David avait retrouvé une «famille»; il paraissait heureux. Mais peu de temps après, les visites de David se firent de plus en plus rares et brèves. Roslyn s'inquiétait des maux de tête dont se plaignait David.

    En 1975, David Berkowitz écrivit à son père pour lui indiquer combien sa vision du monde s'était assombrie. Pour Nathan Berkowitz, il devint évident que son fils adoptif avait besoin de soins psychiatriques. David, qui vivait dans un lugubre studio du Bronx, s'enfonçait de plus en plus dans l'isolement. Six mois après avoir écrit cette lettre, David commença à tuer.

    SON ENFANCE

    Dans son enfance David se fit une réputation de sale gosse gâté et de petite brute, et pourtant au lycée il se montra timide et fut lui-même victime des «durs».

    L'adolescence de Berkowitz fut marquée par son manque d'aptitude à s'intégrer et par sa difficulté à nouer des relations avec les filles.

    Il détestait les filles, d'ailleurs un de ses camarades d'école se souvient que David lui avait demandé s'il voulait s'inscrire à un «club de détesteurs de filles».

    Rem: Dans une lettre envoyé a son père, un mois avant le premier meurtre, il dit: «Papa, le monde s'obscurcit maintenant. Je le sens de plus en plus...Les filles disent que je suis moche, ce sont elles qui m'ennuient le plus».

    ETAT PSYCHOLOGIQUE

    L'une des clefs du comportement psychologique de Berkowitz réside dans sa frustration sexuelle (lorsqu'il fut arrêté, il était probablement encore vierge). Il avait toujours des difficultés à susciter l'intérêt des filles.
    Les psychiatres diagnostiquèrent chez David, une schizophrénie paranoïde.
    Comme tant d'auteurs de meurtres en série, il était possédé par le désir d'exercer un pouvoir sur autrui. (Lorsque son père adoptif se remaria, David se sentit rejeté. Son désir d'«appartenance» le conduisit à s'engager dans l'armée)

    ETUDE GRAPHOLOGIQUE

    L'écriture de David Berkowitz révèle un homme à l'intélligence limitée, mais capable de simuler habilement. Il éprouve du ressentiment à l'égard de son passé, ainsi sans doute qu'un sentiment d'emprisonnement émotionnel. Il souffre fréquemment d'agitation intérieure et de confusion des émotions.

    Inscriptions trouvées dans son appartement:

    «Salut! Je suis M. Williams et je vis dans ce trou. J'ai plusieurs enfants et je suis entrain d'en faire des tueurs. Attendez qu'ils grandissent».

    «Mes voisins, je n'ai aucun respect pour eux, je les traite comme de la merde. Sincèrement. Williams»


    Autographe rédigé en prison:

    Je ne suis jamais heureux
    Je suis plutôt triste
    Très souvent, je pleure quand je suis seul dans ma cellule
    Je suis très nerveux
    Je n'arrive jamais à me détendre
    Je vais faire une dépression nerveuse, Au secours
    Je suis possédé!
    Je dors mal
    J'ai envie de hurler
    Il faut me tuer
    Des démons me tourmentent
    Je n'y arriverai pas


    L'histoire de David Falco Berkowitz inspira le réalisateur SPIKE LEE pour son film "Summer of Sam" .

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  •  JOHN WAYNE GACY - LE CLOWN

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    JOHN WAYNE GACY - LE CLOWN TUEUR
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>John Wayne Gacy est né le 17 mars 1942 à Chicago.
    En public Gacy était un militant politique apprécié et un homme charitable. Il se rendait dans les hôpitaux, déguisé en clown, pour distraire les enfants malades, on le surnomma par la suite le «clown tueur» car en privé, il était un être sadique animé par des pulsions morbides.

    En 1978, la police est venue chez lui après des recherches à propos d'étranges disparitions de jeunes hommes ayant travaillé pour lui. Des enquêtes plus approfondies ont révélé qu'il était impliqué dans ces disparitions. 27 cadavres ont été retrouvés enterrés dans le vide sanitaire sous sa demeure et 6 autres corps ont été repêchés dans la rivière Des Plaines.

    Les voisins se plaignaient d'odeurs venant des sous-sols de la maison des Gacy, qu'il avait essayé d'atténuer avec de la chaux et en prétextant avoir des problèmes d'égouts bouchés. Inculpé pour le meurtre de 33 jeunes hommes, Gacy était un criminel patenté malgré son apparence altruiste. Il était un membre influent de la communauté, travaillait pour des organisations bénévoles. Il s'est marié deux fois et était un respectable homme d'affaires. Cependant, il avait une vie privée bien singulière: il aimait avoir des relations homosexuelles avec des individus bien plus jeunes que lui, qu'il assassinait par la suite.

    Il a commencé à les recruter dans son entourage lorsqu'il proposait des petits boulots aux jeunes de son quartier. D'ailleurs, la plupart de ses victimes faisaient partie de ses employés. Il aimait les menotter et les violer brutalement avant de se débarrasser des corps. Après une tentative infructueuse de plaider la folie lors de son procès, il fut condamné à la peine capitale. Il a été exécuté le 10 mai 1994 par injection létale.


    Rem: Devant la cour, Gacy fait la démonstration de la manière dont il avait tué la plupart des adolescents, se servant d'un chapelet comme garrot, en serrant autour de leur cou à l'aide d'un stylo.


    SON ENFANCE

    Gacy était détesté par son père, en effet, celui-ci préférait nettement ses filles à son fils, peut-être parce que l'enfant montra très tôt une personnalité dominante, comme celle de son père. Gacy était gros et tout le temps malade, c'était le vilain petit canar de la famille.
    Les fréquentes maladies de Gacy (il tombait souvent dans les pommes, problèmes respiratoires, ...) avaient probablement une origine psychosomatique – elles étaient une sorte de défense inconsciente contre les brimades incessantes de son père.

    Le père de Gacy souffrait d'un alcoolisme sévère et c'était un homme très autoritaire. Il maltraitait son fils, le battait, le humiliait. Il lui disait souvent qu'il était «le chouchou de sa maman» et qu'il finirait sans doute «pédé» (Gacy avait des tendances efféminés).

    La vie sexuelle de Gacy débuta tôt. A l'âge de 4 ans, une arriérée mentale âgée de 15 ans lui ôta son pantalon et se livra à des attouchements sur lui. A l'âge de 6 ans, Gacy fut surpris avec le fils d'un voisin et sa petite sœur: tous trois, nus, s'adonnaient à des jeux sexuels. Gacy se fit corriger brutalement par son père.


    ETAT PSYCHOLOGIQUE

    Le manque d'amour paternel dont il avait souffert dans son enfance fit de Gary un être dangereusement inadapté à la vie adulte. Les psychiatres ont déduit que le sadisme de Gacy était une réaction contre son père. Pourtant, quant on l'interrogea au sujet des relations qu'il entretenait avec sa famille, Gacy nia farouchement avoir détesté son père!

    Gacy détestait les homosexuels. Il avait déclaré aux enquêteurs que ses victimes «méritaient» de mourir. Il affirma au psychiatre qu'il projetait sa propre homosexualité sur ses victimes. En les tuant, il se débarrassait symboliquement de cette homosexualité.

    Selon les psychiatres, l'intelligence de Gacy était bien au-dessus de la moyenne et que les examens révélaient qu'il était atteint de schizophrénie paranoïde.


    CELEBRITES INSPIRES PAR JOHN WAYNE GACY

    Un des membres du groupe de Marilyn Manson s'est inspiré de John Wayne Gacy et de la diva Madona pour créer son nom de vedette: MADONNA WAYNE GACY. (Pratiquement tous les membres du groupe ont un nom de sex-symbol doublé de celui d'un tueur en série).

    Plusieurs scénaristes ont été inspirés par la vie de John Wayne Gacy, notamment CLIVE SAUNDERS pour le film «GACY» sorti en 2003.

    SUFJAN STEVENS lui dédie une chanson sur son album «Come on feel the Illinoise».

    STEPHEN KING s'est inspiré de ce clown pour écrire «Ça», un roman d'horreur où un clown dévore des enfants.

    Le groupe DOG FASHION DISCO lui a consacré une chanson, «Pogo the Clown».

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  • DENNIS NILSEN - L'ETRANGLEUR A LA CRAVATE

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    DENNIS NILSEN - L'ETRANGLEUR A LA CRAVATE
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Dennis Nilsen est un paranoïaque, un nécrophile, il est né le 23 novembre 1945, c'est l'auteur de la plus grande série de meurtres de l'histoire du crime en Grande-Bretagne, il était un fonctionnaire effacé et timide, vivant modestement, avec sa chienne, dans la banlieue de Londres. Il a avoué des crimes épouvantables et très étranges. Il tua ses victimes avec l'aide d'une cravate, c'est ainsi qu'on le surnomma «l'étrangleur à la cravate».

    Pendant 5 ans Dennis tueras au moins 16 personnes, des jeunes gays sans abris, qu'il recueillait chez lui, il leur donnait a manger, il prenait soin d'eux et il finissait par les tuer en les étranglant. Dennis conservait les corps dans son lit, symbole pour lui d'un amant qui lui resterait fidèle (il était homosexuel). Dennis était obsédé par la solitude, dans son désespoir, il finit par rechercher la compagnie des morts.

    Quand les corps commençaient à se décomposer, Nilsen s'en débarrassait en les enterrant dans son jardin, sous son plancher mais aussi des parties de corps dans les poubelles. On a aussi découverts de nombreux ossements non identifiables ainsi que des corps brûlés ou dissout en partie par l'acide.

    C'est grâce à une canalisation bouchée que des voisins ont surpris Nilsen en plein nettoyage, il y avait une odeur nauséabonde qui se dégageaient et la canalisation était bouchée d'ossements, les voisins pensait d'abord que c'était des os de poulets mais ils finissent par prévenir les autorités.
    Nilsen est arrêté le 9 février 1983 par la Police anglaise qui découvre ce jour-là les restes de trois victimes dans la maison. Ce jour là, Nilsen dénonce ses 16 meurtres; un grand nombre de ses victimes ne sont pas identifiées et pour la plupart n'avaient pas été portées disparues car c'était des sans abris. Le 4 novembre 1983, un jury rejeta la défense de responsabilité diminué, et Nilsen fut condamné à la réclusion à perpétuité, il avait 37 ans.

    SON ENFANCE

    Les parents de Dennis ne s'entendaient pas entre eux, ils finissent par divorcer. La mère de Dennis décide d'aller vivre chez ses parents avec Dennis, son frère aîné et sa petite sœur mais c'est surtout ses grands parents qui avaient une grande influence sur lui, ils étaient à la fois sévères et affectueux. C'était un foyer heureux et très pieux. Il était formellement interdit de jurer ou d'évoquer les questions sexuelles. Dennis fut baigné dans cette atmosphère de rigueur et de puritanisme religieux.
    Dennis passa donc son enfance dans une atmosphère de rigueur religieuse. Il était bizarrement replié sur lui-même et d'humeur taciturne. Il absorbait dans son propre monde où seul son grand-père, Andrew WHITE, pouvait pénétrer. Andrew était en effet le héros de Nilsen. Il savait enchanter l'enfant de contes bruissant du soufle de l'océan et le hissait sur ses épaules pour de longues promenades sur les plages de sable. Quand le petit garçon s'endormait, il le ramenait dans ses bras. Lorsqu'il revenait de la pêche, toute la famille savait que c'était Dennis qu'il était impatient de revoir.

    Dennis n'avait jamais aimé vraiment que son grand-père. Quand son grand-père est mort, c'était un grand traumatisme pour lui, c'était la première fois qu'il voyait un cadavre et c'est depuis lors que les représentations de la mort et de l'amour se mêlèrent. Il aurait voulu rester avec son grand-père et, donc, être mort.

    Le petit garçon s'enfouit plus profondément dans son jardin secret. Il n'avait pas d'amis et estimait qu'il était peu digne d'eux. Au moment de la puberté, il prit conscience d'être attiré par les garçons, il s'en estima encore plus «différent»

    ETAT PSYCHOLOGIQUE

    Les psychiatres avaient beaucoup de mal a définir l'état psychologique de Nilsen devant la loi. Les avocats ont essayé de convaincre le jury que Nilsen était atteint de «troubles de la personnalité», mais ce diagnostic dépendait évidemment des psychiatres. Ils échouèrent, principalement parce qu'il apparut que Nilsen s'était montré capable de logique en attirant chez lui des jeunes gens. Il avait évidemment des problèmes psychologiques, mais qu'en était-il vraiment au moment des meurtres?

    ANALYSE GRAPHOLOGIQUE

    L'écriture de Nilsen montre un esprit habile et calculateur, qui préfère se pencher sur les détails plutôt que d'avoir une vision globale des choses. Il a de la difficulté à se montrer objectif et à organiser ses pensées, et apparaît facilement confus.
    On trouve aussi un manque de patience et de tolérance, qui conduit à des actions irréfléchies. Une imagination très développée entraîne une agitation intérieure et confusion d'esprit.

    Nilsen éprouve une peur panique de la solitude. Il a tellement besoin de contacts humains qu'il peut être conduit à diverses extrémités.
    Ses capacités physiques inhibées causent un déséquilibre et une tension. Cet aspect, joint à des sautes d'humeur, peut entraîner des réactions violentes. On peut remarquer de l'instabilité, de la nervosité et un caractère impulsif. L'homme se montre très susceptible à la critique.

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