• LA Folie de Ronald Deféo.ATTENTION LES IMAGES QUI SUIVENT PEUVENT ETRE CHOQUANTES

     Amityville

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    L'appel fut noté par le commissariat de police du comté du Suffolk à 18 heures 35, le mercredi 13 novembre 1974. Au bout de la ligne, un homme qui déclara s'appeler Joe Yeswit, annonça que plusieurs personnesavaient été abattues, dans un faubourg résidentiel de Long Island, à l'est de New-York. “Le fils est entré en courant, affolé, dans mon bar, ajouta-t-il. Il a dit que toute sa famille avait été tuée, c'est pour cela que je vous appelle”. L'agent Kenneth Greguski, de la police d'Amityville, fut le premier à arriver sur les lieux du drame. Lorsqu'il déboucha sur l'avenue de l'Océan, il trouva un groupe de gens à l'entrée d'une allée. L'un d'eux sanglotait : “Ma mère et mon père sont morts”. Il accepta volontiers de décliner son identité aux policiers : Ronald DeFéo Jr.surnommé Butch, 23 ans, né le 26 septembre 1951 à Brooklyn, New-York.

    Kenneth Greguski entra dans la maison et monta l'escalier jusqu'à la chambre des parents : sur le lit gisaient les corps ensanglantés d'une femme et d'un homme. Dans une chambre plus petite, il découvrit deux garçons couchés sur le ventre. Toutes les victimes avaient été tuées par balle. Dans une troisième chambre, l'agent de police trouva le cadavre d'une adolescente, tuée d'une balle en plein visage. La fouille macabre s'acheva dans une chambre mansardée, où une deuxième fille, plus âgée que la première, était étendue, morte elle aussi, sur son lit.

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    1) Ronald Senior reçoit 2 balles dans le dos. Entrées par le cou, elles traversent ses reins et sa colonne vertébrale. Le corroner indique que la victime a essayé de se déplacer vers le haut avant de mourir. Il a été vivant de quelques secondes à quelques minutes avant de sucomber à ses blessures.

    2) Louise reçoit elle aussi 2 balles : une entre et sort par son poignet gauche. La 2ème détruit son poumon, son diaphragme, sa cage thoracique et son foie. Elle se dirige vers la porte et meurt 10 mn après la fusillade.

    3-4) Mark et John reçoivent des tirs à bout portant (moins de 2 pouces). Les balles pénétrent le coeur, les poumons, le diaphragme et le foie de chaque victime. La moelle épinière de John est touchée sévèrement.

    5) Allison est réveillée et a le temps de voir la muselière du pistolet avant qu'il reçoivent la balle en plein tête. La balle est sortie, a frappé le mur et a rebondi par terre.

    6) Dawn à reçu une balle à bout portant également (moins de 3 pouces) dans le bas de son cou. La balle est sortie par l'oreille gauche.

    ATTENTION LES IMAGES QUI SUIVENT PEUVENT ETRE CHOQUANTES

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     L'HISTOIRE :

    Un soir, le fils aîné de la famille Defeo, Ronald junior, tue tous les membres de sa famille d'une balle dans la tête. Il tue ses parents, ses deux jeunes frères et ses deux petites soeurs. A part avouer qu'il a entendu des voix venant d'en bas, lui ordonnant de faire ça, Ronald Defeo ne dira jamais ce qui s'est passé cette nuit là. Les voisins de la famille Defeo, ne sauront jamais pourquoi ils n'ont pas entendu les coups de feu tirés par le fusil que tenait Ronald Defeo. La police ne saura jamais pourquoi les six corps ont tous été tués dans une étrange position, à plat ventre, le visage dans l'oreiller, les mains sur la tête ou pendant de chaque côté du lit. Le monde ne saura jamais ce qui a poussé ce jeune homme, fils de bonne famille, sociable et cultivé, à tué toute sa famille.

     

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    Arrestation de Ronald DeFéo Jr.

     Ronald Jr. fut inculpé du meurtre de six membres de sa famille. Ses aveux furent des plus brefs.Il déclara s'être réveillé près de la télévision, tôt le mercredi matin, avoir regagné sa chambre et chargé son fusil. Il avait d'abord abattu son père et sa mère, puis il avait tué Allison d'une balle dans la tête. Debout entre les deux lits dans la chambres de ses frères, il avait ensuite tué Mark et John. Dawn s'était réveillée, mais, Butch lui avait assuré que “tout allait bien” avant de la suivre dans sa chambre et de l'abattre à son tour. Il fit le tour de la maison pour ramasser les douilles, se changea et alla jeter le fusil dans la baie. Les douilles, l'étui et les autres cartouches il les a jeté dans un égoût. Et tout cela avant d'aller…déjeuner…!!.

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    Il fallut attendre un an avant que l'affaire ne fût jugée. Dans l'intervalle, Butch fit tout pour tenter de simuler la démence. Pour accréditer la thèse de la folie, il manifesta  un comportement très agité, il détruisit son courrier, provoqua un incendie dans sa cellule et menaça de se suicider. Quand son procès s'ouvrit en octobre 1975, un psychiatre cité par la défense affirma que Butch était un malade mental et qu'il ne savait pas ce qu'il faisait cette nuit là. Il fallait bien trouver quelque chose..! Après avoir reconnu tous les crimes et en précisant qu'il était seul à l'avoir fait. En fait Ronald DeFéo Jr. n'aimait pas ses parents, n'aimait pas ses frères et soeurs, n'aimait pas son chien, n'aimait personne. Victime de la société en général, victime de sa jeunesse, victime de la drogue, victime tout court.

    Alors Possétion ou prémonition du meutre de ces parents ?

    Sur l'un des livres personnels de Ronald Defeo Jr, l'on voit écrit en gras et en majuscules, de manièrs répétée et écrits avec une apparente frénésie, sur des pages où tous les autres mots sont raturés eux aussi avec frénésie, les mots ” KATCHEM ” et ” KILLEM “. Ces phrases ont une particularité. Elles sont formées d'un seul mot, c'est vrai, mais un seul mot comportant deux fautes d'ortographes. ” KATCHEM “, est une contraction des mots ” catch ” et ” them “, qui signifient ” attrappe ” et ” eux ” (attrapes les). Sans faute d'ortographe, le mot s'écrirait avec un ” C ” et non un ” K “, mais comporterait aussi une apostrophe entre le verbe et le sujet. ” KATCHEM ” s'écrit en fait ” CATCH'EM “. En ce qui concerne l'autre mot, ” KILLEM “, il n'y a d'erreur que dans l'apostrophe. Cette phrase est formée, elle aussi, d'un verbe ” KILL ” et d'un sujet ” EM “, qui signifient ” tue ” et ” eux ” (tues les). En bonne ortographe, cette phrase devrait s'écrire ” KILL'EM “, avec une apostrophe. ” Et alors?”, me direz vous, ” une faut n'est qu'un faute; une erreur, un oubli.”. … Pas faux. … Mais venant de la part d'un jeune diplômé (niveau bac), l'erreur a-t-elle autant d'impact? D'autant que ces phrases sont écrites comme elles se prononcent. Comme si des hommes répétaient des mots appris dans une langue étrangère qu'ils ne connaissent que très peu. … Comme des indiens qui les auraient entendus et répétés. …

    Ronald Defeo Jr. a t il été possédé par des esprits maléfiques qui l'auraient aidé à maintenir ses victimes pendant qu'il leur tirait dessus? Où bien le jeune homme, était-il un simple malade mental, drogué ce soir là, comme le prétendait le procureur au cours du procès, et qui aurait placé ses victimes, droguées elles aussi, dans cette position après leur mort? Le bruit du tonnerre a t il réellement couvert les bruits du fusil du jeune homme? Ou bien le mal a t il empêché les membres endormis de la famille Defeo ainsi que leurs voisins, d'entendre ces coups de feu?

    LES AVIS SONT PARTAGES, ET CE N EST QUE LE DEBUT…. LA SUITE RESTE A VENIR.


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