• La réincarnation de Bouddha ?
     

     

    Certains sont convaincus qu'il est la réincarnation de Bouddha. Des milliers de curieux s'enfoncent chaque jour dans la jungle népalaise pour apercevoir un adolescent en pleine méditation, qui n'aurait pas bougé, ni mangé, ni bu, depuis six mois.
    Ram Bahadur Banjan, 15 ans, reste immobile, les yeux clos, niché dans la position du lotus au creux des racines d'un arbre de la jungle de Bara, à environ 160km au sud de Katmandou. Il est censé être demeuré ainsi depuis le 17 mai mais ses fidèles le dérobent chaque nuit à la vue du public.

    Un journaliste du journal Kantipur, Sujit Mahat, a passé deux jours sur place. D'après lui, environ 10 000 personnes viendraient quotidiennement rendre visite au jeune homme.

    Devant l'affluence, des militaires ont été déployés dans le secteur pour canaliser la foule. Un stationnement a été improvisé et des commerçants ont installé des stands à proximité de la retraite de l'adolescent, un lieu habituellement peu fréquenté.

    Nombre de visiteurs croient se recueillir devant la réincarnation de Gautama Siddhartha, né dans le sud-ouest du Népal, non loin du site, aux environs de 500 avant Jésus-Christ, et vénéré ensuite comme Bouddha, «l'Éveillé».

    La police, elle, mène l'enquête. «Nous avons une équipe (...) qui étudie sur ces affirmations pour savoir comment quelqu'un pourrait survivre si longtemps sans eau ni nourriture», explique l'inspecteur de police Chitra Bahadur Gurung. Ses hommes ont interrogé les proches de l'adolescent mais n'ont pu questionner directement le jeune homme, évidemment silencieux.

    Les autorités locales ont aussi demandé à l'Académie royale népalaise des sciences et de technologie d'envoyer des scientifiques de Katmandou pour examiner l'adolescent. D'après le journaliste Sujit Mahat, les visiteurs sont maintenus par un cordon à une distance 25 mètres du méditant, qu'ils ne peuvent apercevoir qu'en plein jour, de l'aube au crépuscule. Au coucher du soleil, ses proches placent un écran devant le jeune homme, le protégeant des regards.

    «On ne peut pas dire ce qui arrive après la nuit tombée», explique Sujit Mahat. «Les gens n'ont pu voir que ce qui se passait dans la journée, et beaucoup pensait que c'était une sorte de Dieu».

    Le bouddhisme compte environ 325 millions de fidèles, la majorité en Asie. Pour ceux qui l'approfondissent, cette religion enseigne l'art de rectifier sa pensée et de se contrôler pour tenter d'atteindre le nirvana, état divin de paix et félicité que seul peut expérimenter l'être débarrassé de tout désir.


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  • Les boules du Costa Rica

     Non il ne s'agit pas d'un concours de pétanque en Amérique du sud mais bien d'un nouvel anachronisme qui je le pense a bien sa place dans cette rubrique.

    Alors pour ce qui est de la description et du mode de fabrication supposé de ces boules, voici les Explications D'Yvon Leclerc, chercheur à l'institut international du paléozoïque : Il existe au sud du Costa Rica dans le Delta du fleuve Diquis, près de 200 boules (bolas) en granite très dur. Elles varient de 10 cm à 2,5 mètres de diamètre (jusqu'à 16 tonnes). Elles auraient été sculptées par des artisans d'Amérique Centrale il y a 1,600 ans et plus. On ne peut savoir à quelle époque précise puisqu'il est difficile de dater le travail sur une pierre. Nous pouvons dater la pierre mais nous ne pouvons pas dater le travail sur la pierre. Nous ne connaissons pas le pourquoi de ces boules. Elles auraient peut-être servi aux emplacements des tombes. Plusieurs ont été détruites par les bulldozers quand la forêt céda la place aux plantations de bananiers. D'autres boules ont été déplacées pour servir de monuments touristiques etc. Une des boules de 2 mètres a été vérifiée, la marge d'erreur est de 2 millimètres, ce qui fait qu'elle n'est pas tout à fait sphérique. Même avec les outils d'aujourd'hui, il serait difficile d'arriver à cette perfection. Les spécialistes croient que chaque boule aurait été taillée en boule grossière et par la suite, polie avec un abrasif (peut-être du sable). Les archéologue se posent la question: pourquoi les carrières de granite sont à une dizaine de kilomètres de là? Nous n'avons pu étudier qu'une boule de 3 pi. Nous avons effectué trois frottis bruts sur la boule et nous avons comparé les frottis pour voir si les outils et la technique étaient semblables. Nous ne croyons pas que la "bolas" ait été sculptée grossièrement et par la suite finie avec un abrasif de sable. Nous pensons plutôt qu'elle a été travaillée à l'aide d'un gabarit et un outil de 1,75 po + ou - de largeur a servi à la finition de cette "bolas". L'artisan a travaillé la finition en deux étapes. Il a d'abord procédé en bandes horizontales en vérifiant régulièrement avec le gabarit. Par la suite, il a roulé la boule d'un quart de tour. Le sculpteur a refait le même procédé de finition en bandes horizontales, ce qui a donné un motif en carrés. Nous pouvons voir sur les frottis des marques parallèles, horizontales et verticales qui tracent des carrés d'une superficie de 1,75 po. par 1,75 po. Il nous est difficile de confirmer l'utilisation du sable comme abrasif puisque le temps a usé la surface, mais nous pensons que le fait de voir les coups du ciseau démontrerait qu'il n'y a pas eu d'abrasif.

    Cette technique pourrait être utilisée sur les différentes boules et comparée les frottis pour vérifier les outils et les techniques utilisés. Pour obtenir une meilleure idée de datation, il serait intéressant de faire des plâtres sur différentes boules afin de mettre en relief les traces d'outils. Par la suite, visiter les musées et faire des plâtres sur des poteries qui semblent avoir les mêmes traces d'outils. En trouvant les mêmes traces d'outils, il serait facile de dater la poterie au carbone 14. Et nous aurions la date de ces outils qui ont fabriqué les boules. Et nous pourrions, par le fait même, avoir peut-être une bonne idée des artisans qui ont fait ces boules, puisqu'ils sont les mêmes qui auraient fait les poteries. D'autres archéologue s'intéressèrent a ces objets tel Doris Z. Stone qui en 1940 termina son rapport par cette phrase très révélatrice :

    "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."

    De plus, certaines d'entre elles ont été retrouvées dans des endroits extrêmement difficile d'accès comme l'explique l'explorateur suisse Erich Von DÄNIKEN, il indique qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 Km en Land-Rover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer".

    Alors comment ces boules qui sont déjà incroyables de par leur fabrication, puisque certaines atteignent un degré de perfection difficilement réalisable avec nos outils moderne, se sont elles retrouvée perdue en pleine jungle ? On peux imaginer qu'a cette époque ces régions n'était pas recouvertes de forêts et étaient donc habitables et habitées mais dans ce cas pourquoi n'as t'on pas retrouver (à ma connaissance du moins) des vestiges aux alentour de ces boules ? Il semblerait également que les seules carrières de granit (connues en tout cas) se trouvent souvent a des distances relativement importantes allant de 10 à près de 100 Km. Il est vrai que, vu leurs formes il ne devait pas être bien difficile de les déplacer, à la condition de le faire sur un terrain relativement dur et surtout pas marécageux, mais tout de même !!! Pourquoi des personnes auraient fabriqué ces boules avec autant de soins, ce qui à du leur prendre des mois voir des années, pour ensuite les emmener très loin de là et tout cela uniquement pour leur servir d'objet de culte ou autres rituels funéraires ?

    La question restera encore longtemps sans réponses malheureusement. Néanmoins, une légendes locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil. Mais les archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des sanctuaires tabous.


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  • Malédiction sur la voiture de Jean Dean

    Sa mort



    Après avoir roulé presque 4 heures, James Dean allait traverser Cholame, une petite ville de Californie. À ce moment-là, un jeune étudiant, Donald Turnuspeed, arrive de la route 41; James Dean, lui, est sur la US Highway 466. Le jeune étudiant coupe la priorité et James tente de contourner la voiture : il n'y arrivera pas. C'est le choc, les deux voitures se rentrent dedans, mais les secours arrivent tout de suite: deux policiers ont été témoins de la scène. Le passager de la voiture de James Dean, son mécanicien Rolf Wutherich, est projeté de la voiture mais ne subit que quelques blessures légères, le jeune étudiant s'en sort, lui aussi, avec seulement quelques hématomes. James Dean, quant à lui, meurt sur le coup. Sa mort fut annoncée à 17h59 exactement.

    Contrairement à ce que tout le monde disait, James ne roulait pas excessivement vite, à peine à 88 km/h, c'est l'étudiant qui roulait trop vite. James Dean venait juste de terminer le tournage de Giant (Géant). Ironie du sort, une clause de son contrat lui interdisait les courses automobiles ou les conduites dangereuses durant toute la durée du tournage.

    Il est enterré aujourd'hui dans le Park Cemetery à Fairmount.

    L'étudiant qui avait coupé la priorité à James mourut, lui, d'un cancer en 1995.

    Porsche 550 Spyder

    C'est en 1955 que James Dean acquiert une des 90 Porsche 550 Spyder, qu'il surnomme "Little Bastard" ("p'tit bâtard"). Après sa mort, cette voiture est devenue célèbre malgré elle, car elle n'a pas seulement tué James, mais également quelques autres personnes dans les années qui suivirent.

    Beaucoup de gens crurent que le véhicule de l'acteur était maudit. Georges Barris, qui a personnalisé la voiture de James, achète l'épave du véhicule 2500 $ et se fracture la jambe quelques temps plus tard.

    Peu après, il vend le moteur et la transmission aux physiciens Troy McHenry et William Eschrid. En faisant la course l'un contre l'autre, l'un meurt en percutant un arbre après avoir perdu le contrôle de sa voiture, tandis que l'autre est sérieusement blessé après que la sienne ait quitté la route.

    Barris vend les pneus de la voiture : ils causent un accident de voiture à l'acheteur, et ce malgré le fait qu'ils soient en bon état.

    Deux jeunes essayent de voler la voiture mais l'un d'eux, en prenant le volant de la Porsche, s'ouvre le bras à cause d'un morceau de métal déchiqueté. Plus tard, un autre homme est blessé en essayant de voler le siège du conducteur couvert de sang. Enfin, Barris décide de cacher la voiture, qui est récupérée par la California Highway Patrol pour l'exposer à titre d'exemple sur les accidents de la route.

    La première exposition a connu un désastre: en effet, un incendie se déclare dans le local et seule la voiture en sort indemne. La deuxième, dans un lycée, a une autre conséquence : la voiture tombe et casse la jambe d'un étudiant. Sur la voie menant à Salinas, le camion qui transporte le véhicule a un accident et le conducteur est blessé, uniquement à cause de la Porsche. À deux autres occasions, la voiture s'est 'échappée' des camions sans causer d'accidents graves, mais en brisant le pare-brise d'un véhicule.

    Finalement, en 1959, ce fut la dernière exposition de la voiture en onze pièces, car en 1960 elle disparut mystérieusement avec le camion dans laquelle elle était. On n'a plus jamais revu "Little Bastard".

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  • LES CRANES DE CRISTAL
    Le mystère de la prophétie des Mayas

    Les crânes de cristal apparus sur le marché européen à la fin du 19e siècle ont suscité bien des spéculations. Un crâne de cristal appartient au British Museum, un autre crâne à la Smithsonian Institution de Washington. De nombreux particuliers sont également détenteurs de crânes en cristal. Ce mystère a surtout fait l’objet d’une enquête passionnante par deux journalistes de la BBC voici quelques années. Preuves scientifiques et témoignages des descendants des peuples amérindiens nous amènent à nous interroger sur le passé de l’humanité et son avenir. Cette étrange affaire nous ramène au calendrier Maya et à cette fameuse date du 21 décembre 2012 mais également à la mythique cité de l’Atlantide.

    Selon une prophétie Maya, les crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs
    venus du ciel. Lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie, en 2012 de notre ère.

    Selon la légende, ils détiennent des pouvoirs de divination, de guérison et médiumnique. Les Mayas pensent que ces crânes contiennent de grandes informations sur l’histoire des humains et des anciennes civilisations. Ces cinq crânes ont été étudiés (entre autre) en 1996 par le British Muséum qui en possède un.

    En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges agée alors de 17 et son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya " des pierres tombées " à Lubaantùn, au Belize.

    En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin, pèse 5 kg et est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.

    Le crâne possède des propriétés optiques étonnantes : Eclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.

    L’énigme posée par ces crânes tient au fait que, selon les experts, seuls des outils du 20e siècle, notamment des mèches recouvertes de diamant, ont pu attaquer un matériau aussi dur que le cristal de quartz. Or, les crânes authentifiés datent d’une période très antérieure à la conquête espagnole. On sait que les peuples amérindiens n’utilisaient pas d’outils pour façonner leurs objets. C’est tout le problème qui se pose aux scientifiques. Une équipe de scientifiques de la société Hewlet-Packard spécialisés dans la cristallographie ont examinés le crâne et en voici les conclusions après examens :

    Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope lui procurant une grande stabilité physique, chimique et thermique. Il possède une polarité, réagit à la lumière et à l'électricité, directe ou par pression physique, son axe piézo-électrique est vertical et ses propriétés sont différentes dans chaque direction ; matériau utilisé comme oscillateur ou résonateur, en électronique et en informatique.

    Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. Selon son axe de symétrie moléculaire, ce qui lui confère ces étonnantes propriétés optiques.

    Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. Si les sculpteurs ont lentement et méticuleusement poli l'objet à la main avec un mélange de sable et d'eau, il aurait fallu plusieurs générations d'ouvriers et 300 années pour arriver à ce résultat !

    Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication (il ne vieillit pas).

    Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( mais avec des traces d'usinage), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.

    Les crânes de cristal détiendraient des pouvoirs magiques qui permettraient l’élévation spirituelle des humains, la production spontanée d’images holographiques et des bruits sonores étranges. Il paraît que les crânes de cristal peuvent parler ou chanter et certains auraient des propriétés de guérison et de clairvoyance.

    Il existe dans le monde d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies :

    Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés psy. Jo Ann Parks est détentrice du crâne baptisé "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne "à la croix du reliquaire" (les espagnols ont percé le crâne afin d'y inserer une croix). Le Smithonian Institute et le British Muséeum possèdent également un crâne de cristal.

    Ces cinq crânes ont été étudiés en 1996 pa le British Muséum dont voci les conclusions : Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Pour le crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix. Pour les deux autres crânes le British Muséum refuse obstinément de livrer ses conclusions mais également de dire exactement pourquoi! Cependant, il y eu des résultats transmis oralement aux journalistes et aux propriétaires des crânes testés:

    Le crâne du British Muséum comporte des traces de meules. Il est donc considéré comme "post-colombien".
    Le crâne Sha-Na-Ra de la Smithsonian Institution porte lui aussi des traces de meules.

    Ces deux crânes exposés ne sont donc pas si anciens et peuvent être considérés comme des "faux ".

    Par contre, le crâne dit "à la croix reliquaire" a bien été fait à la main. Il a du être taillé quelques temps avant ou peu après la conquête espagnole. RIen ne prouve que le crâne de Anna Mitchell-Hedges soit un faux. Concernant les deux derniers crânes, le porte parole du British Muséum a déclaré : "j’ai peur que nous ne soyons pas en mesure de faire des commentaires sur les deux autres crânes" et l’équipe a reçu pour consigne de ne pas faire de commentaires, le British Muséum nie même avoir réalisé ces analyses!

    LES POUVOIRS DU CRISTAL DE QUARTZ

    La meule de joaillier n’a été introduite aux Amériques qu’après l’arrivée de Christophe Colomb en 1492. Le cristal de quartz est, après le diamant, la matière la plus dure au monde. Il est impossible de sculpter cette matière à la main. Selon les spécialistes de Hewlett Packard, il aurait fallu un an avec des outils modernes pour sculpter le crâne de Anna Mitchell-Hedges. De plus, même avec nos outils, une pièce aussi précise et fragile se serait brisée sous les effets des vibrations et de la chaleur.

    Le cristal de quartz fait aujourd’hui parti de notre vie. Le cœur de nos ordinateurs, où toute l’information est stockée, est une petite puce en cristal de silicium. Cette puce utilise les propriétés uniques du cristal pour stocker les informations. Selon les mayas, les crânes de cristal seraient d’antiques ordinateurs. Ils contiendraient d’importantes informations sur les origines de l’humanité et son destin.

    Le cristal de quartz est depuis peu à la pointe du progrès scientifique : instrumentation de mesure, télécommunications, système radar et sonar … Pourquoi les crânes ont-ils été précisément façonnés dans ce type de quartz? Les civilisations considérées comme « primitives » avaient-elles des connaissances que nous ne possédons que depuis moins de 100 ans?

     MAYAS, AZTEQUES ET ATLANTES

    Selon la légende Maya, les Itzas, venus de l’Atlantide, ont apporté les crânes avec eux. Atlantide se dit "Atlantiha" en langue maya. L’Atlantide a toujours fait parti de la tradition orale des peuples amérindiens. A Tula, une métropole des Toltèques, vieille de plus de 1 000 ans, il y a un temple appelé "Temple des Atlantes". Derrière ce temple, il y a le mur de coatepantliau ou mur serpent, qui est orné de bas-reliefs. Ils représentent une série de serpents avec un crâne humain à la place de la tête. Les archéologues sont toujours perplexes, cette construction est dédiée aux "Atlantes".

    Ce temple établi un rapport entre un mystérieux groupe d’êtres désignés sous le nom d’Atlantes et l’image du crâne humain. Les prêtres mayas utilisaient les crânes lors de cérémonies dont la signification nous échappe. Cependant, les crânes de cristal "authentifiés" sont anatomiquement parfaits. Celui de Mitchell possède une mâchoire articulée d’où leur surnom par les peuples amérindiens de "crânes qui parlent" et "crânes qui chantent". Selon eux, les prêtres mayas utilisaient les crânes pour prévoir l’avenir en les faisant parler.

    LE MESSAGE DES CRANES

    Au commencement, il existait 12 mondes où une vie humaine était présente. La Terre était appelée "la planète des enfants". Les onze autres mondes ont rassemblé leurs connaissances dans une sorte d’ordinateur holographique, les crânes de cristal. Ces "Anciens" ont amené ces crânes sur Terre et ont fait don de la connaissance aux hommes. Ils aidèrent les hommes à construire quatre grandes civilisations : Lémurie, Mu, Mieyhun et l’Atlantide.

    Les 13 crânes étaient conservés dans une pyramide appelée "l’Arche". Plusieurs civilisations ont été les gardiennes de l’Arche : les Olmèques puis les Mayas et enfin les Aztèques. Ces derniers en auraient fait un mauvais usage.

    Les crânes furent dispersés par les prêtres Aztèques après la conquête espagnole. Ils devaient rester séparés car leur pouvoir collectif était trop puissant pour être utilisé avec sagesse par l’homme. Le message des crânes est tout à fait d’actualité. Si l’homme continue a prendre à la Terre sans rien lui rendre en échange, le quatrième monde ou cinquième soleil, qui doit prendre fin le 21 décembre 2012, sera le dernier...


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  • La troublante énigme du caveau de la famille Chase

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    Pour plusieurs amateurs d'ésotérisme et de phénomènes paranormaux, La Barbade est le lieu « où les cercueils dansent ». Cette histoire des plus insolites prend ses racines sur la côte sud de l'île, là où se trouve le cimetière Christ Church. Ce cimetière contient le mystérieux tombeau de la famille Chase. Si, depuis près de 200 ans aucun humain n'y a été enterré, c'est pour une bien étrange raison. Entre 1811 et 1820, des phénomènes inexplicables ont laissé la population de cette île stupéfaite. Cette histoire provient d'une crypte très mystérieuse qui a marqué de façon définitive le folklore de La Barbade à tout jamais.

    Cette fameuse crypte mesure un peu plus de 12 pieds sur 6 (3,60 m x 1,80 m environ). La seule et unique entrée de la crypte était une énorme pierre de marbre bleu qui pesait environ 450 kg. Une fois fermée, la tombe était pratiquement impénétrable.

    L'histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu'une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée. L'année suivante cependant, ils cédèrent le tombeau à une autre famille de planteurs, la famille Chase. Cette année là, la jeune Mary Ann Chase, âgée de deux ans, était morte d'une des maladies infantiles si fréquentes à l'époque. Pendant les quatre années suivantes, le tombeau resta scellé. C'est le 6 juillet 1812 que la crypte fût ouverte de nouveau pour y placer le cercueil de la petite Dorcas Chase, la soeur aînée de Mary Ann. La population murmurait que la jeune enfant s'était laissée mourir de faim pour échapper à la tyrannie de son père, l'honorable Thomas Chase qui, semble t-il, ne méritait pas du tout son titre honorifique. À peine un mois plus tard, ce dernier suivait sa fille dans la tombe.

    Le jour de son enterrement, après avoir enlevé l'énorme dalle qui protégeait l'entrée du tombeau, les esclaves qui faisaient office de fossoyeurs descendirent dans la crypte pour y placer le cercueil de Thomas Chase. Cependant, ils ressortirent en toute hâte. Ils refusèrent obstinément de redescendre à l'intérieur, ce qui troubla la cérémonie. Le pasteur de Christ Church, le révérend Thomas Orderson, entra dans la chambre funéraire pour voir ce qui avait bien pu terroriser les esclaves pour que ces derniers préfèrent être punis plutôt que de redescendre faire leur devoir. Le révérend fut lui aussi saisi d'une peur panique. Les deux imposants cercueils de plomb des fillettes Chase avaient été déplacés. Ils avaient été mis debout, la tête en bas. Celui de Mrs. Goddard avait été posé sur le coté contre une des parois. On crut à une violation de sépulture de la part des esclaves qui étaient agités depuis quelques temps. On remit donc les cercueils à leur place et plaça celui de Thomas Chase, un cercueil de plomb énorme qui demandait 8 hommes pour le déplacer, dans la crypte. Ils replacèrent par la suite le lourd bloc de marbre qui scellait la tombe.

    Quatre années passèrent avant qu'un nouveau décès, celui du jeune Samuel Brewster Ames, permit d'ouvrir la mystérieuse tombe de nouveau. C'était le 25 septembre 1816. Cette fois encore, on souleva l'énorme dalle de marbre pour ouvrir l'entrée et le révérend fût le premier à y descendre. Une fois encore, quelqu'un ou quelque chose avait changé les cercueils de place. Cependant, personne n'avait tenté d'ouvrir les cercueils: le vol n'était donc pas la cause de la violation de sépulture. Le très lourd cercueil de Thomas Chase était dans le coin de la sépulture opposé à celui où il avait été placé quatre années auparavant. Les autres avaient aussi été déplacés. C'était le désordre le plus total. Après que les esclaves aient tout replacé, le pasteur et le secrétaire du gouverneur de l'île, le major Finch, examinèrent le caveau et n'y remarquèrent rien d'insolite. Le mystère restait entier. Le corps du jeune Ames fut donc placé auprès des autres et ils refermèrent le tombeau une fois de plus, le scellant de nouveau avec la lourde pierre de marbre. Ils démontèrent ensuite le chevalet qui servait à déplacer la dalle et, à titre d'expérience, huit hommes de solides constitution tentèrent en vain de déplacer la dalle. Elle ne bougea d'un poil. La famille rentra donc à la maison…

    Huit semaines plus tard, l'occasion se présenta à nouveau d'ouvrir le tombeau. Le père de Samuel, avait été tué par des esclaves durant une révolte. Le grand chevalet fut donc mis en place et, après d'énormes efforts d'une douzaine d'esclaves, l'entrée fût de nouveau ouverte. Les phénomènes étranges qui s'étaient produit avaient beaucoup fait parler, donc il ne fallait pas se surprendre qu'un nombre important de curieux s'étaient rassemblés pour voir si l'événement insolite s'était répété. Ils ne furent pas déçus. Le révérend descendit en premier, accompagné du gouverneur de l'île et d'un magistrat. Avant même que leurs yeux se soient habitués à la noirceur de la crypte, ils avaient déjà l'impression que quelque chose d'inusité s'était produit. Effectivement, 4 des 5 cercueils avaient été déplacés. Seul celui de Mrs. Goddard, un léger cercueil de bois en piètre état, n'avait pas changé de place. Les autres, qui étaient tous en plomb (par le fait même très lourds) étaient dans le plus grand des désordres.

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    Le lendemain, les cercueils furent tous sortis de la crypte et des experts de l'époque inspectaient minutieusement la tombe. Ils vérifièrent et revérifièrent chaque centimètres de la sépulture en espérant trouver une trace d'infraction ou une entrée. Mais ils constatèrent qu'il n'existait vraiment aucun moyen d'accès autre que la porte principale. Pour accéder au caveau, il aurait donc fallu ériger un chevalet, tentative qui ne serait pas passée inaperçue. Il n'y avait aucune infiltration d'eau et il n'y avait eu aucune secousse sismique depuis la dernière ouverture du tombeau. Bref, ils ne découvrirent rien qui pouvait laisser croire que quelqu'un avait pénétré clandestinement la tombe. Ils replacèrent donc les cercueils à leurs emplacements originaux et cette fois, en plus de replacer l'imposante dalle, ils firent sceller cette dernière avec du ciment.

    L'histoire devint de plus en plus populaire. Elle fit non seulement le tour de la Barbade, mais elle se répandit dans toute les Antilles, et même jusqu'en Floride et aux Bahamas. Des curieux affluèrent à la Barbade pour voir l'énigmatique caveau des Chase. Des bateaux faisaient même des détours pour que leurs passagers puissent visiter le fameux cimetière. Les habitants de l'île, eux, attendaient le prochain enterrement avec impatience.

    Le 7 juillet 1819, c'était le tour de Thomasina Clarke, une amie de la famille, à y être la nouvelle occupante. Des représentants officiels du gouvernement examinèrent avec soin le ciment qui avait servi à sceller la dalle. Tout était en ordre. Cependant, les esclaves furent incapables d'enlever la dalle à leur premier essai. Des vérifications furent faite pour s'assurer que tout le ciment avait été correctement enlevé, mais ils durent enfoncer des coins de bois à coup de marteau pour bouger la dalle qui refusait de coopérer. Finalement, les esclaves réussirent à la soulever. Les témoins comprirent rapidement pourquoi la dalle était si difficile à déplacer; le cercueil de Thomas Chase avait été coincé contre cette dernière. Encore cette fois, les cercueils étaient sens dessus dessous. Une fois encore, ils furent sortis de la sépulture, laquelle fut encore totalement inspectée. Encore cette fois, aucune trace d'infraction nulle part, aucun indice… absolument rien qui pouvait expliquer les phénomènes insolites entourant la tombe. Tout fut remis à sa place et la tombe fut de nouveau scellée. Cette fois par contre, on scella le tombeau avec toutes les précautions scientifiques possible. Du sable blanc très fin fut placé sur la surface de la crypte et des sceaux de certains officiels furent imprimés dans le ciment qui scellait la tombe. Il était donc impossible d'ouvrir ce dernier sans endommager les marques. On prit note de chaque détail; de la position exacte des cercueils jusqu'à l'épaisseur du sable. On chargea même un membre de la police de venir vérifier l'état de la sépulture et de la dalle à chaque jour. Inutile de dire que la popularité du caveau des Chases augmenta considérablement après cet incident. De partout, des gens venaient pour voir cet insolite cimetière. C'était devenu l'objet de toutes les conversations et tout le monde était curieux de savoir quand le caveau serait ouvert la prochaine fois… et dans quel état il serait.

    Les mois passèrent et finalement, les autorités de la Barbade succombèrent à la tentation après que des témoins aient rapporté des bruits insolites provenant de la sépulture. C'est le 20 avril 1820 que le gouverneur de la Barbade, Mr. Combermere et plusieurs membres de son entourage ainsi que des différents professionnels inspectèrent religieusement le caveau avant de l'ouvrir. Aucune marque étrange ou irrégulière n'était visible. Cette fois cependant, ce sont les cercueils des enfants qui bloquaient le passage. Les officiels durent passer par-dessus pour inspecter le reste de la sépulture. Les lourds cercueils de plomb semblaient avoir été projetés dans tous les sens. Seul celui de Mrs. Goddard n'avait pas bougé. Le sable blanc était parfaitement intact. Le tombeau fut de nouveau totalement inspecté. Cette fois, on enfonça même des barres de fer dans la couche rocheuse afin d'y déceler d'éventuels tunnels…

    Absolument rien, encore une fois. Fatigué de toute cette histoire, le gouverneur fit enlever les cercueils du caveau Chase et les fit inhumer ailleurs. Ce dernier a été laissé ouvert et n'a jamais plus servi à aucune inhumation depuis lors.

    De nombreuses théories ont été avancées sur le sujet, mais le mystère reste entier. Semble t-il qu'il ait été impossible que ces très lourds cercueils de plomb aient été déplacés de façon naturelle. Sir Arthur Conan Doyle, le créateur du personnage de Sherlock Holmes, émit une hypothèse selon laquelle des forces surnaturelles déplaçaient les cercueils parce qu'ils étaient fait de plomb; ce métal empêchait la décomposition rapide des corps. Peut-être aussi que l'esprit de la jeune fille qui s'était suicidée ne voulait pas reposer éternellement à coté de son cruel père qui l'avait tant fait souffrir… Qui sait ? Une chose est sûre cependant, ils n'ont pas reposé en paix…


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