• L'apparence
    des fantômes



    Les fantômes sont plus ou moins nets, mais paraissent " réels " tout en ayant un comportement " somnambulique ", ils sont parfois transparents, sont capables de traverser murs et portes, et paraissent indifférents aux vivants qu'ils rencontrent. Leur apparition s'accompagne souvent de vent glacé, et parfois d'odeurs soit agréables soit fétides... Le contact avec un fantôme donne une impression de grand froid, habituellement marqué comme par une brûlure.


    Les animaux, et en particulier les chiens, manifestent une crainte certaine, parfois panique, et prennent une position de défense (grognements, poil hérissé...).

    Les fantômes des croyances anciennes formaient deux familles, l'une correspondant à l'image qu'on se fait du fantôme aujourd'hui : une sorte d'ectoplasme inconsistant, éthéré, vêtu de blanc, l'autre, très différente, en tous points semblable à la personne vivante, immédiatement identifiée par ceux qui l'ont connue.
    Ces fantômes-là se manifestent en rêve aux vivants, viennent faire part de leur mort, auquel cas ils ont l'aspect de leur dernière heure - épée fichée dans le corps, vêtements trempés pour les noyés, silhouette entourée de feu pour les brûlés, etc. Ils délivrent un message, nomment leur meurtrier, réclament vengeance et indiquent l'endroit où l'on retrouvera leur corps afin qu'ils reçoivent une sépulture conforme aux rites, seul moyen de leur procurer le repos éternel. Les parents viennent prendre congé de leurs enfants, les époux de leur femme, et ne réapparaissent qu'en cas de besoin : pour les aider, conseiller ou blâmer.



    D'autres fantômes ne sont pas reconnus parce que leur trépas est ancien. Ils errent comme des âmes en peine car ils n'ont pas obtenu satisfaction : corps non inhumé, vengeance non réalisée et, dans une perspective chrétienne, pénitence non accomplie ; emportée par une mort subite, la personne n'a pas eu le temps de regagner le giron de l'Eglise et est vouée au purgatoire. Bref, il s'agit de morts qui ne reposent pas en paix et se manifestent pour qu'on leur apporte assistance. Ce qui n'est pas toujours facile car ces fantômes, qui ne relèvent pas d'apparitions oniriques, sont souvent muets et semblent ne pas voir les vivants, répétant inlassablement un acte commis jadis.



    Le parapsychologue italien Ernesto Bozzano (1862-1943), l'un des principaux représentants du spiritisme scientifique, était de cet avis et formula à ce propos l'interprétation suivante : Loin de se montrer enveloppés dans le fameux linceul blanc, les fantômes ont toujours forme humaine, portent les costumes de l'époque à laquelle ils vécurent et se présentent généralement d'une manière si réaliste qu'on pourrait les croire vivants ; ils se montrent parfois distinctement, mais s'avèrent transparents ; dans d'autres cas, ils ne sont que des ombres à l'allure humaine. Ils s'évanouissent souvent surplace, comme de la vapeur, ou bien s'en vont en traversant un mur ou une porte close. Ils marchent ou au contraire glissent en suspension dans l'air, et se manifestent dans la plupart des cas pendant des années, par intermittence, à de longs intervalles et, quelquefois, à dates fixes : il arrive aussi que le phénomène ne dure pas plus de quelques mois, voire quelques jours.





    Fantômes lumineux

    Ce sont des entités entourées d'un halo phosphorescent qui leur confère une luminosité spécifique et une forme tantôt nette, tantôt assez confuse. Il s'agit en majorité de figures religieuses.



    Les fantômes subjectifs

    Les fantômes subjectifs sont de simples images mentales visibles pour une seule personne. Ils n'ont donc pas, apparemment du moins, la moindre réalité extérieure et rentrent dans la même catégorie que les hallucinations et les rêves. Les « amis imaginaires » de certains enfants particulièrement sensibles et Imaginatifs pourraient appartenir à ce groupe.




    Les fantômes objectifs

    Les fantômes objectifs se caractérisent en revanche par une ou plusieurs qualités qui prouvent leur réalité : plusieurs personnes les voient, et même quand un seul individu les distingue, ils transmettent d'autres types de sensations aux présents. manifestation

    Leur manifestation est presque toujours précédée de la vague sensation d'une « présence » qui s'empare de vous et vous pousse à vous tourner du côté où se tient le fantôme ; et si ce dernier s'approche, vous sentez un vent glacé passer sur vous,
    L'une des caractéristiques les plus courantes des fantômes est leur apparente indifférence à l'égard des vivants qui les observent ou, mieux encore, leur désintérêt flagrant vis-à-vis du milieu dans lequel ils se trouvent ; ils montent un escalier, traversent un couloir, pénètrent dans une pièce sans but précis et sans se soucier des personnes qu'ils rencontrent ; ou bien ils vaquent à une occupation domestique quelconque, paraissent absorbés par une pensée secrète ; ils sont à l'évidence dans un état d'« absence psychique », comme s'ils accomplissaient leurs actions par pur automatisme somnambulique.


    Tout cela n'empêche absolument pas cette règle de comporter un certain nombre d'exceptions : il y a des cas où le fantôme fait comprendre qu'il voit les personnes présentes auxquelles il s'adresse souvent intentionnellement par des gestes et des paroles, en prenant part à la conversation, en se comportant comme s'il était encore en vie et en exprimant ouvertement sa sympathie ou son antipathie.

    Les apparitions de fantômes peuvent s'accompagner de manifestations acoustiques de diverses natures : coups, bruits de chaînes, aboiements de chiens, gémissements, ricanements caractéristiques, etc. Il arrive également dans certains cas que des messages verbaux très clairs


    votre commentaire
  • <script language="Javascript" defer="65535"></script>
    LES MYSTÈRES DU LOUVRE

    Curiosités et superstitions

    <script language="JavaScript" defer="65535"></script>  

    <script language="JavaScript" src="/world/edito/outils/inc_addZoomImg.js?v=ivwpiczoom" defer="65535"></script>  

     - Les mystères du Louvre - secrets, mythes
     
    Le vol de 
    La Joconde
    En mai 1911, La Joconde, joyau du musée, bénéficie d'une nouvelle protection : elle est mise sous verre. Trois mois plus tard, le 22 août, c'est la panique : La Joconde a disparu ! La musée est fouillé de fond en comble, les interrogatoires se succèdent sans succès. Les plus folles rumeurs circulent. Finalement, La Joconde disparaît durant 2 ans.
    Fin 1913, elle est retrouvée en Italie. Le voleur, un patriote italien, voulait la rendre à son pays. Il travaillait en fait pour la société qui avait conçu son système de protection. 
    Et ce vol ne sera pas le dernier. En 1995, la toile d'un tableau de Turpin de Crissé est découpé en plein jour, et en 1999, Le chemin de Sèvres de Corot est décroché, sans qu'aucune alarme ne se déclenche.
     
    © Bélphégor, le fantôme du Louvre
    © Bélphégor, le fantôme du Louvre
    Belphégor, de la fiction à la réalité : 
    Le Louvre possède une belle collection d'antiquités égyptiennes, certes. De fait, les malédictions qui entourent les momies ont souvent contaminé le folklore du musée.
    Le plus célèbre personnage fantômatique du Louvre est Belphégor. Tirée d'un roman puis d'une série télé des années 60, Belphégor est devenue une réalité dans l'esprit de beaucoup de gens. Et il n'est pas rare qu'un gardien soit questionné sur ce mystérieux fantôme qui hanterait les couloirs du musée !

    Le Da Vinci Code, info ou intox ? : L'intrigue de ce livre de Dan Brown prend cœur au sein du Louvre. Plusieurs œuvres du musée recéleraient de secrets cachés. Dans La Cène, de Léonard de Vinci, Saint-Jean serait en fait Marie-Madeleine, tandis que La Joconde cacherait des anagrammes. Autant dire que le livre a créé la polémique, beaucoup d'historiens criant au mensonge sur ses affirmations.

    La galerie tactile du Louvre :
    Surtout ne touchez pas aux œuvres ! est un leitmotiv courant dans tous les musées. Le Louvre a pensé aux petits et grands curieux, et surtout aux malvoyants, en créant une galerie tactile. Située dans l'aile Denon, elle permet de toucher les œuvres qui s'y trouvent, moulages d'autres originaux du musée. De quoi rendre la visite plus ludique  !

    La pyramide sous le signe de Satan : Une folle rumeur lancée après la construction de la pyramide, et reprise par le Da Vinci Code (encore lui !) veut que la pyramide soit constituée de 666 triangles de verre. Or, 666 dans le folklore religieux et ésotérique représente le signe du diable ! En fait, le nombre exact des vitraux diverge (officiellement il est de 673).

    Médor, le chien du louvre :
    Le louvre aussi a sa mascotte ! La légende de Médor remonte à la Révolution de 1830, lorsque le Louvre fut pris d'assaut par des insurgés. Les victimes de cette sanglante bataille furent enterrés au pied de la colonnade du Louvre. Mais le chien de l'une des victimes, un barbet inconsolable, resta errer devant la sépulture de son maître. Il fut pris d'affection par les gardes nationaux du musée, qui le surnommèrent Médor.

    votre commentaire
  • .


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • .


    votre commentaire